Ma Louve Rousse
Datte: 16/12/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
confession,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... longuement sur chaque téton, framboise de chair. J’explorai son ventre, son nombril pour enfin arriver au buisson ardent (dixit Moïse). Délicat, j’embrassais ses lèvres, y glissant une langue inquisitrice et venant titiller son bouton d’amour, l’interrupteur céleste. Elle s’étirait, écartait les jambes, se cambrait, miaulait tout à la fois. Je glissai une phalange dans sa chatte, un point d’acuponcture selon maître Yoda ; je provoquai alors une tétanie, et un long hurlement de louve en rut.
À peine eut-elle repris ses esprits qu’elle me plaqua sur le lit, me chevauchant telle une Amazone ; elle glissa mon membre de nouveau en pleine forme dans sa grotte, et cette fois, c’est elle qui guida la manœuvre, à sa main si j’ose dire. Parfois elle s’arrêtait, mon sexe au plus profond, et elle faisait jouer ses muscles autour de lui. La sensation en était intense et nous ne tardâmes pas à repartir une nouvelle fois au Nirvana. Cette fois, l’immeuble et même une bonne partie de la rue étaient au courant. Épuisés, elle s’est écroulée dans mes bras et moi dans les siens.
Le lendemain matin, je me réveillai, ses cheveux dans les narines, sa tête sur mon torse, sa main tenant fermement mon sexe, etBidule assis sur mon ventre me regardant d’un air sévère.
Une voix inconnue et cassée s’éleva et gémit :
— Aris eile.
Je devais apprendre plus tard que cela voulait dire « Encore une fois » en Gaélique !
En effet, nous remîmes le couvert ; cette fois tranquillement, avec ...
... délicatesse. Moi sur elle. Je l’embrassais, elle gémissait, et de nouveau elle poussa son cri de louve.
Longtemps après, après s’être lavés, après avoir mangé, je lui posai la question qui tue :
— Que faisons-nous maintenant ?
En tout cas, lors de notre promenade quotidienne au fameux jardin des plantes de Montpellier, nous rencontrâmes madame Duroux qui lâcha un laconique « C’est pas trop tôt ! », puis Sylvie et Omar. Sylvie m’embrassa, Omar me serra la main avec un « Respects, Mec » qui me fit rougir. Sans oublier Rémy et Chris qui nous attendaient et nous firent la bise comme si nous venions de gagner Rolland Garros et Wimbledon réunis.
Cinq ans plus tard, je suis à la maternité ; ma compagne va mettre au monde notre second enfant. Ma belle-mère tient sur ses genoux ma fille, trois ans. Elle a mes yeux, bleus. Et les cheveux de sa mère… roux. Einin.
Deirdre a mis au monde un beau bébé, blond aux yeux verts.
Alors que nous sommes seuls, ma belle me tient à peu près ce langage :
— J’ai un aveu à te faire : je t’ai menti… Il y a cinq ans, je pouvais me débrouiller seule :mon sœur oumon maman seraient venues. Mais je t’aimais et ne savais comment te le faire comprendre. Je croyais que tu allais me sauter dessus comme un tigre, mais tu as tenu bon : jamais tu n’as osé le geste déplacé que j’attendais tant. Il a fallu quela dernière jour, je te saute dessus !Mon maman etmon sœur sont au courant. Je n’ai jamais eu le courage de te l’avouer. Tu me pardonnes ?
— Il y ...