1. Ma Louve Rousse


    Datte: 16/12/2019, Catégories: fh, jeunes, frousses, rousseurs, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, confession, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent connaître… Enfin, j’exagère un peu : j’ai vingt-huit ans et cette histoire date de trois ans ; mais cela fait beau de citer Aznavour etLa Bohème.
    
    En ce temps-là, j’habitais Montpellier, rue de l’Université, et j’allais à la Fac Paul-Valéry. Étudiant en audio-visuel.
    
    Je demeurais dans un petit studio de quelques mètres carrés, unechambrecuisinebureauséjourdébarras et une salle d’eau-WC. Une fenêtre donnant sur un toit et une autre sur la rue.
    
    J’y vivais seul ; enfin presque : un jeune matou tigré me trouvant « chatesque » s’invita chez moi un soir, arrivant par le toit et se couchant d’office sur mon lit. Je le nommaiBidule !
    
    Mon studio se situait dans un petit immeuble d’habitation de quatre étages ; sur chaque palier, un appartement et un studio.
    
    Au dernier étage loge un jeune couple sympa, Sylvie et Omar. Je suis déjà allé manger chez eux, ils sont marrants. En face, Spulio, un Péruvien qui ne fume pas que la moquette.
    
    En dessous il y a moi, et en face Rémy et Chris, des homos. Je dois avouer que vivre à côté d’un couple gay ne m’enchantait guère. Puis, les côtoyant, j’ai pu les apprécier. Je n’ai pas retourné ma veste, mais nous sommes devenus amis.
    
    Au rez-de-chaussée, il y a uniquement un appartement, avec monsieur et madame Duroux, un couple d’octogénaires que je connais à peine.
    
    Enfin le premier. Dans le studio, Iris. Une étudiante comme moi, petite, un peu enrobée, avec de très ...
    ... gros seins. J’aime les gros nénés, comme on disait au PSG ; mais là, non ! Iris souffre de nymphomanie chronique, de plus un peu barge. Elle a bien essayé de me mettre entre ses cuisses, mais j’ai toujours refusé : j’estime qu’un peu de sentiments n’est pas de trop avec l’acte lui-même. J’entends d’ici les lazzis de certains lecteurs, les huées ; mais désolé, on ne se refait pas : je reste un incorrigible romantique.
    
    Par contre j’éprouvais un sentiment de solitude. D’une timidité maladive, je ne me liais pas facilement, et je ne tentais pas aborder une jeune femme. D’un physique plutôt avantageux paraît-il, 1,90 m, blond cendré aux yeux bleus, baraqué, le nez un peu busqué, le sourire aidant les femmes me trouvent séduisant, mais je n’ose pas faire le premier pas.
    
    Pourtant… Pourtant…
    
    Je dois encore vous avouer que j’aime les rousses. Je suis accroc.
    
    Et justement, au premier – face au studio de la nymphomane – vivait Deirdre (prononcez « Daredreh »), une jeune Irlandaise. Rousse. Belle comme un cœur, très fine. Svelte et élancée, elle arrivait largement à mon épaule. Bien qu’elle n’eût point une grosse poitrine, je me serais quand même damné pour ses petits melons, pour ses yeux verts. Verts comme une prairie de son pays, caressée par le soleil juste après une pluie ; comme une forêt au printemps lorsque les jeunes bourgeons éclosent. Pour ses pommettes parsemées de taches de rousseur, que j’eusse aimé picorer de baisers. Pour ses longs cheveux roux, où mes doigts ...
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