Ma Louve Rousse
Datte: 16/12/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
confession,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... ainsi.
— Merci, merci, tu es adorable.
Pour fêter cet événement, nous allâmes à la pizzeria. Intrigué par le fait que Mario – le patron – nous installait systématiquement à la même table, proche de la cheminée, dans un halo de lumière tamisée, nous étions à la fois isolés et bien en vue, je demandai à Mario les raisons de cet emplacement.
— Vous êtes si mignons tous les deux que votre présence me fait de la pub. On l’appellegli amanti ristorante, la pizzeria des amoureux, dans le quartier. D’ailleurs, aujourd’hui pour vous, le vin est gratuit.
Il faut dire que nous voir manger était un spectacle, moi lui coupant sa pizza, lui donnant de petits bouts, c’étaitmeugnon ! À chaque bouchée, je regardais sa bouche, je plongeais mon regard dans le sien, je me sentais bien. Je ne voulais pas que cela s’arrête.
De retour à l’appartement, après un cinéma, je tins Deirdre du cours de mes cogitations :
— Les gens jasent sur nous dans le coin ; je pense à ta réputation.
— Laisse jaser, nous ne faisons rien de mal.
Cette même nuit survint une nouvelle aventure. Je dormais à poings fermés lorsque Deirdre vint me réveiller.
— J’ai un souci… purement féminin.
— ? ? ?
— J’ai mes règles ; tu dois m’aider à mettre un tampon.
« Nom de Dieu de Bordel de Merde », me dis-jein petto, (je parle couramment latin). Je l’accompagnai à la salle de bain et, accroupi devant elle, je lus le mode d’emploi du truc. Il y était inscrit, en gros, qu’une révolution technologique ...
... digne du moteur à explosion se trouvait dans la boîte : le tampon avec APPLICATEUR !
Quèsaco ? Cela m’a pris une demi-heure pour poser le machin. Avec les encouragements de ma belle. Dire qu’il fallait en mettre plusieurs fois par jour ! Au bout du troisième, j’avais pris le coup. Mais que c’est compliqué d’être une femme…
Une semaine avant Noël, Deirdre revint de l’hôpital, les mains libres de tout pansement ; quelques cicatrices marquaient légèrement sa peau.
— Génial, lui dis-je, tu vas pouvoir te débrouiller seule et ne plus m’avoir sur le dos.
J’en avais gros sur la patate en disant cela ; j’avais du mal à maîtriser ma voix.
— Ne nous occupons pas de cela ; ce soir on fait la fête. Pizzeria.
Pour fêter l’événement, Mario nous offrit les pizzas. Il semblait aussi heureux que Deirdre. Moi, je n’en menais pas large. Je faisais bonne figure mais une grosse boule de tristesse me serrait la gorge.
Rentrés à l’appartement, je fis part de mon prochain départ à ma belle Irlandaise. Avec un petit sourire en coin, elle me tint à peu près ce langage :
— Tu veux te débarrasser de moi ? Tu en as marre ?
— Euuh…
— Avant que tu ne partes, il y a quelque chose que j’aimerais faire. J’en ai envie depuis si longtemps…
Tout en me parlant, elle me poussait vers le centre de la pièce, me regardant commeBidule zieutait les oiseaux à la fenêtre. Elle en profita pour retirer mon pull et ôter la ceinture de mon jean.
— Pendant cinq semaines, tu m’as lavée, coiffée, ...