Ma Louve Rousse
Datte: 16/12/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
confession,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... bichonnée ; c’est à mon tour, maintenant.
Et de baisser mon pantalon, tout en me faisant entrer dans la cabine de douche. Nu comme un ver, je tentais dignement de cacher mon anatomie. Mais allez cacher un truc qui attend depuis cinq semaines dans des conditions inhumaines… Mon sexe ne l’entendait pas de cette oreille, si je puis oser cette bizarrerie anatomique. Mes mains n’étaient pas assez grandes ! Si fait, Mesdames, si fait !
Deirdre fit couler l’eau sur moi et m’inonda de gel douche, puis entreprit de me savonner ; d’abord le torse, mais très vite elle empoigna le manche, le faisant coulisser entre ses doigts, aidée par le savon. À mon grand désarroi, je ne pus me retenir bien longtemps. J’envoyai de grands jets de sperme à tout va, sur les murs, dans ses mains et sur ses vêtements. J’étais à la fois ravi de la tournure des événements, mais étonné de sa frénésie.
Elle envoya voler ses vêtements à travers la pièce et se glissa dans la douche avec moi, caressant mon corps. Ne demandant pas la permission, je lui rendis la pareille. Mais cette fois, pas d’éponge : c’est à mains nues que caressais sa peau, ses seins, son ventre. Nous nous embrassions comme si nos vies en dépendaient. Une minute de ce traitement et je redevins en forme. Toujours en m’embrassant, elle s’agrippa à mon cou, m’enserra entre ses jambes et vint s’empaler sur moi.
Là, me revinrent en mémoire les heures passées avec le grand-père d’un ami chinois, papy Tzang, qui nous donnait en douce ...
... des cours de sexualité :
Je n’introduisis que la tête de laBête. Quelques centimètres, délicatement, puis me retirai et revins de même. Quatre fois, je n’en pouvais plus. (Essayez cette technique, et vous m’en direz des nouvelles). Au cinquième retour, je m’enfonçai loin en elle. Puis je recommençai de nouveau mes petits va-et-vient. Quatre fois de suite j’ai pratiqué cet art sur ma belle. Pour finir, en de longs mouvements amples et lents, je me retirais presque entièrement de son ventre et y revenais tout aussi lentement. Elle gémissait, ondulait ; je ne pensais pas qu’un bassin de femme puisse être aussi souple. Avec des feulements de lionne, elle accéléra le rythme ; j’y allais de bon cœur, moi aussi, les mains passées sous ses fesses, son dos collé à la paroi. J’embrassais tout ce qui se trouvait à portée de bouche : cheveux, oreilles, cou, lèvres.
Dans un dernier spasme, oubliant toute « précaution », je m’épanchai en elle, la serrant contre mon torse comme pour m’y incruster. Dans le même temps, elle poussa un long cri de bête sauvage, un cri venu de la nuit des temps. Nous restâmes enlacés quelques minutes, reprenant notre souffle. Je l’emmenai vers le lit, dérangeant au passageBidule qui s’était réfugié sous la couette, inquiet de toute cette furieuse agitation.
Calmement, posément, j’entrepris une lente exploration labiale de son corps. J’embrassai ses yeux, ses lèvres, chaque tache de rousseur, son petit nez mutin, puis ses épaules et ses seins, m’attardant ...