1. Ma Louve Rousse


    Datte: 16/12/2019, Catégories: fh, jeunes, frousses, rousseurs, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, confession, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... longues jambes gainées d’un jean slim et de hautes bottes de cuir rouge foncé. Moi, en veste de cuir et jean, nous fîmes sensation place de la Comédie, où nombre de regards envieux ou admiratifs nous suivirent. J’étais heureux ! Je m’étais quand même donné de la peine… pour l’habiller. Un jean moulant et des bottes ! Quelle idée !
    
    Ce fut pire pour la déshabiller ; mais là, nous avions le fou-rire pour nous aider. EtBidule qui jouait avec tout, même avec ses chaussettes. Ce fut dans la joie, la bonne humeur que je lui fis prendre sa douche. Une certaine complicité s’établissait.
    
    Le samedi suivant, je l’emmenai dans une pizzeria où j’avais mes habitudes. Comme toujours lors des repas, nous étions atteints de fou-rire ; je faisais – paraît-il – des mimiques marrantes lorsque je lui donnais la becquée.
    
    Le soir, nous écoutions de la musique : du classique, des chansons à texte ou de la chanson récente, sauf du rap. Éclectique ! Elle ne souhaitait pas aller en boîte, mais boire une bière dans un pub ne lui déplaisait pas.
    
    Tous les soirs, lorsque ma belle s’en remettait aux bras de Morphée, je prenais ma douche et me masturbais furieusement. Pas besoin de pensées salaces : ce que j’avais vu dans la journée me suffisait. Allais-je tenir mentalement et physiquement ?
    
    Tous les trois jours, elle allait au dispensaire se faire refaire les pansements. Je l’y accompagnais souvent. Un matin, nous croisâmes madame Duroux, notre voisine. Elle nous toisa, et avec un hochement de ...
    ... tête nous gratifia d’un : « C’est pas trop tôt ! ». Je m’interrogeai sur ce commentaire, mais Deirdre sourit en rougissant, ou inversement. À l’occasion des fêtes de fin d’année, la ville organisait des concerts, en fin d’après-midi, dans les rues. Nous écoutions souvent.
    
    Nous allions faire des courses ; je l’accompagnai même dans un magasin de sous-vêtements féminins. J’y faisais tache ! D’accortes quadragénaires me jetaient des regards sournois. Heureusement, la présence de Deirdre calmait les inquiétudes des mégères. Les vendeuses se marraient. Imaginez un grand bonhomme s’enfermant avec une jeune femme et des soutiens-gorge dans une cabine d’essayage. Mais je suis devenu incollable sur ces étranges unités de mesure. Les chiffres, les lettres ; consonne…(désolé). Je donnais même mon avis. Mais je sais maintenant déchiffrer cet étrange langage. La taille du bonnet, le tour de poitrine. Je suis un nichonologue averti. Un midi, elle revint de l’hôpital, inquiète.
    
    — Je suis désolée, mais j’ai encore un service à te demander.
    — Oui ?
    — Je viens de voir mon chirurgien ; il voudrait que je garde mes fils quinze jours encore. Cela t’ennuierait de rester encore un peu avec moi ?
    
    Devant mon air ahuri, elle développa :
    
    — Mon chirurgien m’a expliqué que la cicatrisation n’était pas entièrement terminée ; je suis désolée de devoir encore te demander ce service.
    
    Elle ne se doutait pas du plaisir qu’elle me faisait.
    
    — Pas de problème, je ne vais pas te laisser tomber ...
«12...456...9»