1. Ma Louve Rousse


    Datte: 16/12/2019, Catégories: fh, jeunes, frousses, rousseurs, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, confession, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... alors que je lui mettais une pâte dans la bouche. Quelques heures plus tard, après que j’eus débarrassé et fait la vaisselle, ma rouquine vint me trouver, un peu gênée.
    
    — Pourrais-tu m’aider à prendremon… douche ?
    
    Je n’avais pas pensé à celle-là. Une douche ? Mais faut être à poil pour prendre une douche !
    
    — Je viens de suite.
    
    C’est bizarre, mais ma voix chevrote. Je l’accompagne dans le cabinet de toilette ; elle lève la tête, ferme les yeux. Sa respiration s’accélère et elle rougit ; ses taches de rousseur ressortent de plus belle ainsi.
    
    Je lui ôteson jupe, non sans difficultés et déboutonne le chemisier. Tiens, elle a des sous-vêtements à fleurs ; j’aime ! Pas de string, mais un boxer.
    
    Puis, les doigts gourds, je m’échine à enlever les agrafes du soutien-gorge. Comment faites-vous, Mesdames, pour attacher ou enlever ce truc en deux temps trois mouvements ? Oh, c’est une vraie rousse. Merci mon Dieu. Elle a des éphélides partout, sur les seins, les fesses, une mignonne petite touffe rousse sur le mont de Vénus et de jolis tétons rose clair.
    
    Avez-vous déjà lavé une jolie fille alors que vous êtes toujours vêtu ? Moi oui, et je vous assure que c’est à la limite de la torture. Isidore s’énervait dans mon slip, mes mains tremblaient et mes yeux sortaient de leurs orbites !
    
    Mais en gentil garçon sage, je passai l’éponge (j’appris plus tard qu’elle se nomme « fleur de bain ») partout, avec moult gel douche. Je lui lavai aussi les cheveux, puis après un ...
    ... bon rinçage je séchai. J’avais aussi la bouche sèche !
    
    Durant toute l’opération, ma belle se tenait bras écartés pour ne pas mouiller les pansements, et se tournait selon mes indications pour laver soit les seins, les fesses, les jambes ou le petit triangle de feu. La seule fois où elle a réagi, c’est lorsque je suis passé sous les aisselles : elle était chatouilleuse. Je m’aperçus qu’elle n’avait pas ouvert les yeux et qu’elle était rouge comme une pivoine.
    
    Je l’aidais à enfiler… (non, le verbe est mal choisi) à se vêtir d’une nuisette. Comme elle était fatiguée, je la mis au lit et la bordai.
    
    Je savais que je ne trouverais pas le sommeil. Je pris un livre et passai une nuit très, très agitée ; devant mes yeux ne se trouvaient pas les lignes d’un texte, mais un corps de rêve. Par contre, j’étais définitivement un gentleman.
    
    Le plus sensé de l’histoire ?Bidule ! Il dormait sur le lit de ma belle.
    
    Le lendemain matin, un poil vaseux, je préparai le petit déj. Mais avant, autre grand moment de solitude lorsqu’elle me demanda de l’aider aux toilettes. Imaginez-moi à genoux devant elle, un morceau de PQ à la main, en train de lui tamponner délicatement foufoune ! Je m’échinai sur le soutien-gorge, ne me débrouillai pas trop mal avec le reste. J’allai faire les courses, fis le ménage et la cuisine.
    
    En fin d’après-midi, nous sortîmes tous deux faire un peu de lèche-vitrines. Nous formions un couple intéressant, ses longs cheveux roux tombant sur sa veste de cuir, ses ...
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