1. Petits plaisirs et grand calvaire


    Datte: 11/12/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, fagée, groscul, handicap, Auteur: Badalic, Source: Revebebe

    ... vers le bar puis se redressa.
    
    — Bah ! J’ai la tête qui tourne ; je les vois pas, ces cerises. Elles sont peut-être sur l’étagère du bas…
    
    Alors que je pensais que le spectacle était terminé, je la vis saisir sa blouse et la remonter lentement tout en haut de ses cuisses avant de se pencher à nouveau en avant. Son cul apparut, majestueux, impérial. Un derrière énorme d’une blancheur éclatante. Elle m’offrait une vue imprenable sur son gros fessier. Putain, quelle beauté ! Je n’en perdais pas une miette. Elle tourna alors légèrement la tête pour s’assurer que je la regardais bien avant de se mettre à dodeliner lentement du derrière en essayant de se déhancher.
    
    — Tu trouves pas que j’ai un beau cul, chéri ? demanda-t-elle, toujours penchée.
    — Oh si, un très joli cul !
    — Et vous avez envie de lui faire quoi ?
    — De l’enfiler, de le baiser…
    — Petit coquin… Ah tiens, voici ces foutues cerises ! Je savais bien que je les avais mises là.
    
    À mon grand regret, elle se redressa et laissa retomber sa blouse avant de revenir vers moi avec son précieux bocal. J’eus juste le temps de rattraper celui-ci au vol avant qu’il ne s’écrase sur la table basse, ce qui fit glousser Martine avant qu’elle ne s’affale près de moi de tout son poids et éclatant de rire comme une véritable foldingue.
    
    — Tu le veux le cul de la vieille ? répéta-t-elle, hilare, en me soufflant dessus avec son haleine fétide. J’ai trop envie de me faire baiser !
    
    Que pouvais-je faire ? Lui dire « Madame ...
    ... Garnier, vous êtes complètement bourrée, vous ne savez plus ce que vous faites » et la remettre fermement à sa place ? Mais je n’en avais pas spécialement envie car elle était là, chaude, brûlante, désireuse de sexe… Alors je me suis jeté sur elle et lui ai caressé les miches, ce qui l’a fait à nouveau glousser. Puis, voyant qu’elle se laissait généreusement peloter, je l’ai basculée sur le divan et ai troussé sa blouse pour bien reluquer sa belle chatte poilue. De longs poils noirs, des lèvres épaisses bien ourlées et de longues lèvres brunes qui ressortaient un peu. Je me suis bien vite retrouvé la tête entre ses cuisses pour renifler son parfum de femelle et goûter sa fente humide.
    
    Une forte odeur émanait de son con, une liqueur puissante et très aphrodisiaque, mélange d’hormones féminines et de vieille pisse fumante ; sa grotte était à proprement parler débordante de cyprine. J’y ai fourré mes doigts : elle était fin prête pour faire l’amour. J’avais d’ailleurs rarement rencontré femelle aussi excitée. J’aurais pu la prendre là de suite, l’empaler, la pilonner, mais j’avais envie avant de la foutre à poil. Alors j’ai agrippé sa blouse et ai tiré de toutes mes forces. Deux boutons, tour à tour, ont cédé. Elle a éclaté de rire.
    
    — Comment vous y allez ! Vous allez me la déchirer.
    
    Du coup, pour les trois derniers, elle m’a aidé. Et j’ai pu alors sortir deux seins tout mous d’un soutien-gorge blanc.
    
    — Vous avez vu comme ils sont laids ? Ils sont tout flasques !
    
    Mais, ...
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