1. Petits plaisirs et grand calvaire


    Datte: 11/12/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, fagée, groscul, handicap, Auteur: Badalic, Source: Revebebe

    ... remis chacun de notre côté à biberonner.
    
    — Pourtant, dans ma tête… Il me semble parfois que mes vingt ans sont encore très proches !
    
    La mère Garnier se parlait plus à elle-même qu’elle ne parlait à moi. En se rasseyant à nouveau, elle avait encore relevé sa blouse et je pouvais maintenant voir le haut de ses bas et le début de ses cuisses. Il était maintenant clair qu’elle avait chaud aux fesses. Mais qu’attendait-elle au juste de moi ? Que je me jette sur elle et qu’après on fasse l’amour ? Passablement éméchée, elle avait les yeux incroyablement brillants. Elle se mit alors à ricaner en disant :
    
    — J’suis un vieux pot ! C’est ça, j’suis qu’un vieux pot ! Eh bien le vieux pot, il a envie de s’éclater… comme une petite jeunette.
    
    Et elle me surprit alors en relevant tout d’un coup une de ses jambes et en la posant négligemment sur l’accoudoir, comme si c’eût été une position très naturelle. N’ayant ni slip ni culotte, donc totalement nue dessous, elle me dévoilait maintenant toute son intimité et m’offrait en pâture une large chatte couverte de poils bruns clairsemés.
    
    — J’crois bien que cette fois je suis pompette, dit-elle en éclatant de rire et en posant son verre sur l’autre accoudoir.
    
    L’instant d’après – un coup de manche malheureux – il est tombé par terre.
    
    — Ben oui… c’est ça, je suis pompette… ricana-t-elle comme une démente.
    
    Et elle riait, elle riait, elle ne pouvait plus s’arrêter de rire après cette bonne farce.
    
    — Mon petit Simon ! ...
    ... Qu’est-ce qu’il regarde comme ça, mon petit Simon ? C’est la vieille chatte de la vieille Martine ? Regarde un peu, elle est toute flétrie ; ça doit te faire horreur, toute cette chair molle… C’est pas jojo, pas ragoûtant…
    
    Encore un rire forcé et cette voix rauque de sorcière.
    
    — Je crois que vous être saoule, Madame Garnier.
    — Madame Garnier, mon cul ! MARTINE ! Appelle-moi MARTINE, petit salaud ! MARTINE CHATTE-EN-FEU !
    
    Et la voici maintenant qui glisse sa main sur son pubis et qui s’emmêle les doigts dans ses poils drus. Et elle ricane, et elle ricane… avant de se relever tout d’un coup d’un bond.
    
    — Allez, fini ! Plus de spectacle ! Le spectacle est terminé. On ferme, j’en ai assez d’être ridicule.
    — Je ne vous trouve pas ridicule, Madame Gar… je veux dire Martine, mais au contraire très excitante.
    — Vilain flatteur, vous dites ça pour me faire plaisir. N’empêche que vous ne vous êtes pas jeté sur moi pour me violer de suite. D’ailleurs, si vous l’aviez fait, vous vous seriez pris une sacrée paire de baffes et c’est vous qui auriez été alors ridicule, totalement ridicule… comme beaucoup d’hommes, d’ailleurs… Pfffff… Avec votre manie de mater sous les jupes des femmes !
    
    Martine, complètement paf, s’avança vers le bar en titubant.
    
    — J’ai vu un bocal de cerises à l’eau de vie là-dedans, l’autre jour.
    — Je crois que nous avons assez bu, vous ne trouvez pas ?
    — Il ne s’agit pas de boire mais de goûter ces délicieuses cerises.
    
    Elle se pencha une première fois ...
«12...789...13»