1. Petits plaisirs et grand calvaire


    Datte: 11/12/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, fagée, groscul, handicap, Auteur: Badalic, Source: Revebebe

    ... pour toute réponse, j’ai léché et tété ses nichons pendant un long moment, et ce n’est qu’ensuite que j’ai baisé Martine avec force et une certaine violence. Elle s’est mise à haleter, à gémir, à hurler ; elle criait son plaisir sans retenue, sans chichi ni fausse pudeur, devenant de plus en plus expressive au fur et à mesure que je la tournais et retournais dans tous les sens au rythme de mon inspiration. Elle avait déjà bien pris son pied ; plusieurs fois de suite, il me semble, et elle semblait maintenant fourbue, presque épuisée, même complètement hagarde. Pourtant j’ai continué à la limer encore un bon moment avant de venir en elle et de me vider de toute me semence.
    
    — Eh bien dis donc, quelle histoire ! a-t-elle dit en se dégageant après avoir repris ses esprits.
    
    Elle s’est relevée, a rajusté maladroitement sa blouse.
    
    — Ça fait du bien, mais j’ai envie de vomir…
    
    Elle s’est dirigée vers la salle de bain où je l’ai entendue gerber. Puis de l’eau a coulé. Elle devait être en train de se rincer la bouche. Quand elle revenue, elle était livide.
    
    — Il est tard, il faut que j’aille m’occuper de Paul… Vous m’attendez ?
    
    Vu ce qui venait de se passer entre nous, je n’avais guère le choix.
    
    — Vous pouvez en manger, ajouta-t-elle en désignant le bocal de cerises à l’eau de vie ; elles sont vraiment délicieuses.
    
    Puis elle s’est en allée, me laissant seul, allongé à moitié à poil sur le divan du salon. Dire qu’il fallait régulièrement s’occuper de ce vieux ...
    ... légume… C’était une charge de tous les instants. Mais elle, Martine, qui s’occupait d’elle ? Cela devait faire bien longtemps qu’elle n’avait pas baisé, vu l’envie qu’elle avait manifesté ce soir-là. Quelle triste vie de pénitence que de servir ainsi de garde-malade !
    
    Quand Martine Garnier revint une demi-heure plus tard, je n’avais pas bougé. Elle retira de suite sa blouse ainsi que son soutif et ses chaussures, se retrouvant toute nue en bas. Puis elle se jeta sur moi comme une furie.
    
    — Baise-moi, baise-moi encore, dit-elle avec empressement, j’ai encore très envie.
    
    Elle se mit alors en 69 juste au-dessus de moi, me présenta sa chatte encore poisseuse et engloutit ma bite. J’eus un peu de mal à lécher ce con encore luisant de foutre et préférai me laisser sucer. Elle ne se débrouillait d’ailleurs pas mal et, une fois ma colonne bien droite et bien raide, elle vint s’asseoir sur moi, s’empalant bien à fond sur mon pieu de chair. Elle me chevaucha ainsi au moins dix bonnes minutes en se démenant comme une furie, ses seins bougeant sans complexe dans tous les sens. Puis elle hurla une nouvelle fois sa jouissance et retomba lourdement sur moi. Comme je n’avais toujours pas joui, je la fis mettre à quatre pattes sur la moquette et la terminai ainsi en levrette tout en fessant son gros derrière blanc.
    
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    Les jours qui suivirent furent torrides. Dès que j’arrivais, mon employeuse me sautait dessus et nous faisions l’amour dans l’urgence, soit ...
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