1. Petits plaisirs et grand calvaire


    Datte: 11/12/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, fagée, groscul, handicap, Auteur: Badalic, Source: Revebebe

    ... fais ça, affirma alors ma curieuse maîtresse, et ça l’excite de me voir nue…
    
    Puisque qu’elle le disait, c’était certainement vrai… Elle poussa le vice jusqu’à frotter ses tétons sur les lèvres du grabataire avant de se branler contre son genou en se frottant les tétons avec ses doigts morts. Visiblement, elle devait avoir l’habitude de faire ces gestes qui formaient comme une sorte de rituel établi entre eux deux. Cela devait lui faire quelque chose, au moins intellectuellement, car je pus déceler une certaine agitation ou un certain énervement dans les mouvements parkinsoniens de son autre bras. Ceci dit, il continuait invariablement à baver.
    
    — Comme j’aimerais ça que tu me baises ! dit-elle encore en l’embrassant.
    
    Sa femme défit alors sa braguette et sortit le gros sexe mou de son mari.
    
    — Regarde, Simon, comme il était bien membré, mon homme. Tu as vu cette grosse bite ? À l’époque, c’était un vrai taureau. Quand il bandait, il me transperçait de part en part. Maintenant c’est fini, il reste un vrai mollusque. Hein, mon Paul, que t’es plus bon à rien et que t’as besoin de notre jeune ami pour satisfaire ta petite femme ?
    
    Cela sembla énerver encore plus l’handicapé qui se mit à baver en abondance. C’était vraiment dégueulasse, j’avais envie de foutre le camp. Mais Martine, comprenant mon désarroi, me rejoint vite fait sur le lit.
    
    Nous étions à deux mètres de son mari tout au plus et nous baisions maintenant comme des bêtes. La vieille était véritablement ...
    ... déchaînée, comme si elle voulait montrer à son époux que sa jouissance était totale. Elle couinait, elle braillait, s’exprimait de toutes les façons qui soient et semblait jouir à répétition tandis que moi, infatigable, je la prenais dans toutes les positions. Mais j’avais du mal à me lâcher et ne parvins pas à jouir. C’était sans doute la présence du vieux, son regard éteint, sa bave aux lèvres et sa grosse queue molle ; sa présence me perturbait, mais ma compagne n’avait pas à s’en plaindre puisque je restais dressé et bien rigide et qu’elle pouvait encore en profiter. Au bout d’un long moment, après avoir bien pris son pied, elle se résolut malgré tout à s’occuper de moi et me finit avec sa bouche. Je me laissai alors aller en fermant les yeux, vidant complètement mes couilles dans la bouche de mon amante. Mais cette dernière, la bouche encore plein de sperme, perverse jusqu’au bout des ongles, ne trouva rien de mieux que d’aller embrasser son homme, faisant briller les lèvres de celui-ci avec mon jus poisseux.
    
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    Noël approchait ; la pièce supplémentaire était terminée et nos envies de baise s’étaient progressivement évaporées. De mon côté, faire l’amour devant le mari, ça allait bien cinq minutes, mais ce n’était pas le genre de fantasme qui pouvait à long terme me satisfaire. Je trouvais même ça passablement écœurant. Et, pour la mère Garnier, un petit jeune très indépendant, qui traînait par monts et par vaux, toujours enclin à courtiser ...