1. Petits plaisirs et grand calvaire


    Datte: 11/12/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, fagée, groscul, handicap, Auteur: Badalic, Source: Revebebe

    ... dans la nouvelle pièce que j’étais en train de terminer, soit dans sa chambre, parfois même dans la cave, en prenant soin quand même de ne pas nous faire voir par madame Bertaut. L’auxiliaire médicale, qui était revenue de ses congés, avait la mauvaise habitude de fureter partout, et je ne sais pas quelle aurait été sa réaction si elle nous avait surpris en pleine copulation.
    
    Après avoir bien baisé, Martine mettait souvent une culotte épaisse. Ça lui permettait de se balader dans la maison sans que mon jus coule le long de ses cuisses. Plus tard, cette cochonne revenait vers moi et baissait son slip pour me montrer tout le foutre qui s’était écoulé de sa chatoune.
    
    — T’as vu tout ce que tu m’as mis !
    
    C’était son plaisir à elle de jouer avec le foutre et de toucher ce jus poisseux ; elle l’étalait partout avec délice : sur ses seins, son ventre ou son pubis et suçait ses doigts en se pourléchant les babines.
    
    Nos relations prirent un tour encore plus scabreux le jour où je découvris que le vieux était dans la pièce où nous venions de faire l’amour. Martine avait pris grand soin de me cacher sa présence, mais il était bien là, posé sur son fauteuil de l’autre côté de la salle, et il nous regardait avec ses yeux éteints, si tant est qu’un mort puisse voir grand-chose. Quand je l’ai aperçu, j’ai failli ramasser mes cliques et mes claques et fuir à triple enjambées, mais ma maîtresse m’a retenu.
    
    — Il a quand même le droit de voir comment sa femme se fait troncher ! ...
    ... affirma-t-elle pour sa défense.
    
    Je pensais qu’il s’agissait encore d’un truc tordu inventé par Martine, mais elle m’assura du contraire. Son mari était capable de communiquer et il avait émis le désir de nous voir faire l’amour devant lui. Comment pouvait-elle donc le savoir alors qu’il ne pouvait parler ? Encore un mystère pour moi.
    
    En tout cas, il était là, bien glauque et bien baveux. Sa femme s’est levée, a traversé la pièce, complètement nue, s’est approchée de lui puis lui as pris le bras avant de porter la main du grabataire entre ses cuisses.
    
    — Regarde tout ce qu’il m’a mis ! J’en ai pris plein la chatte. C’est un vrai étalon, ce Simon, il n’arrête pas de me baiser.
    
    Que pouvait-il donc sentir avec son bras mort ? Elle porta alors ses doigts gluants à la bouche de son époux…
    
    — Tu sens comme ça colle ! Tu sens cette odeur de foutre ? Eh bien ta petite salope de femme en a maintenant plein la chatte ! répéta-t-elle à son encontre.
    
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    Quelques jours plus tard, nouvelle étape. Ma maîtresse m’assura que son mari voulait cette fois participer à nos ébats. Participer comment ? Participer à quoi ? Fallait-il que je l’encule ou que je lui suce la queue ?
    
    Dès que la mère Bertaut fut partie, Martine alla chercher son homme et tira son fauteuil jusqu’à sa chambre où nous nous enfermâmes tous les trois. Ensuite elle se déshabilla entièrement avant de s’approcher de son mari pour se frotter à lui langoureusement.
    
    — Il aime quand je ...