1. L'île aux cochons (2)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... vint me rejoindre, le pénis arqué vers le ciel.
    
    — Bonjour duchesse ! Vous avez faim ?
    
    — Tu crois que je serais revenue sinon ! Je lui lançais, mi-figue, mi-raisin.
    
    Il rit, content du bon moment qu’il allait passer avec moi.
    
    Je me laissais caresser les fesses sur le chemin qui menait à la clairière herbeuse. J’avais honte d’être aussi excitée à la perspective de me faire sodomiser par le matelot.
    
    Je mangeais tranquillement près de Rodrigo qui attendait patiemment le moment de passer à l’action. Les échanges fructueux étant basés sur la confiance, rassasiée, je me disposais à genoux et sans faire de manières, tendit mes fesses vers lui.
    
    Lorsqu’il se colla contre moi, je cambrais les reins en frissonnant.
    
    Je poussais un discret soupir d’aise et fermais les yeux lorsque la bite glissa profondément dans mon cul.
    
    Rodrigo me bourrait avec régularité et j’avoue que j’y prenais un certain plaisir quand un craquement de bois sec m’alerta. Ouvrant les yeux, je découvris le sumo et l’autre matelot. Immobiles, ils me regardaient, leur bite dressée devant leur ventre.
    
    Depuis combien de temps étaient-ils là ?
    
    La honte d’être surprise dans cette ...
    ... position humiliante, me bouleversa. Je tentais de me libérer, mais Rodrigo affermit sa prise. Pire, il me souleva, fit passer mes jambes devant moi et écarta mes cuisses avec ses mains, tout en continuant à me sodomiser sans répit.
    
    Ma vulve humide était crûment exposé à la vue du cuisinier et de son acolyte, ainsi que mon anus, transpercé par le membre viril en action.
    
    — Ooooh, mon Dieu ! Ne regardez pas, s’il vous plaît !
    
    — On dirait que la duchesse aime notre cuisine ! Qu’est-ce que t’en pense, Honesto ? Lança le sumo avec ironie.
    
    — J’en pense qu’il serait juste qu’elle nous donne notre part.
    
    — Et qu’est-ce qu’en pense sa Grâce ? Demanda Masaru d’un air faussement bonhomme, en caressant son énorme phallus.
    
    Je gémis de honte et de peur. La certitude de me faire violer, tour à tour, par ces hommes vulgaires me révulsait, mais je n’étais pas en position de négocier.
    
    Rodrigo accéléra et jouit dans mon cul. Ce fut sordide. Le plaisir s’était enfui avec l’arrivée des deux hommes. Lorsqu’il se retira en faisant le même « Pop ! » que la veille, je me recroquevillais sur l’herbe, honteuse et résignée à payer ma dette augmentée de juteux intérêts. 
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