1. L'île aux cochons (2)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... t-il, avec colère.
    
    Je n’avais aucune intention de me contraindre après avoir vu mon mari sucer le pénis de mon amant.
    
    — Vous ne voudriez pas que je le calme en vous imitant ? C’est votre mignon, pas le mien ! Je répondis avec une provocante désinvolture.
    
    Le duc le prit de haut.
    
    — Vierge et salope ! Vous l’excitez en vous exhibant comme une putain, mais vous ne sauriez pas comment vous y prendre pour le satisfaire ! Me lança rageusement mon jaloux de mari.
    
    Il sembla regretter aussitôt ce qu’il venait de dire, car il s’arrêta net et porta une main à sa bouche.
    
    — Excusez-moi, darling. Dit-il, penaud. Vous me faites perdre mon sang-froid.
    
    L’insulte m’avait fouetté le sang. Elle était plus méritée qu’il ne l’imaginait, mais je ne rompis pas. Je le regardais droit dans les yeux.
    
    — Vous êtes mon seigneur et maître. Ma virginité vous appartient, my Lord. Si vous n’en voulez pas, donnez-la à qui vous voulez ! Dis-je, froidement.
    
    Edouard me fixa d’un drôle d’air puis, sans me quitter des yeux, adressa un signe au jeune homme qui s’approcha timidement en tentant maladroitement de cacher son érection avec ses mains.
    
    — J’aimerais bien voir ça ! Écartez donc les cuisses, ma chère ! Voyons si vous êtes aussi soumise à votre mari que vous le prétendez.
    
    Il ne pouvait pas imaginer à quel point son injonction m’excitait.
    
    — Je ne me déroberai pas. Comme je vous l’ai dit, vous êtes mon seigneur et maître ! Que votre volonté soit faite !
    
    Ma voix était ...
    ... rauque d’un désir mal dissimulé. Je relevais les genoux et ouvris lentement les cuisses, offrant avec perversité, ma vulve humide à la vue du garçon,
    
    Fang, bite droite à la main, regarda Edouard d’un air effaré. Mon mari fit un signe de tête.
    
    — Et bien, vas-y ! Puisqu’elle t’excite tant que ça, baise-la ! Tu sais comment faire au moins ?
    
    Fang s’allongea sur moi avec précaution comme s’il craignait de me briser, comme si c’était notre première fois, comme devait le croire mon mari. J’admirais sa faculté de s’adapter à la situation et de donner le change. Je savais, moi, quel amant fougueux et autoritaire, il était.
    
    Il tourna la tête vers mon mari pour s’assurer une fois de plus de son accord.
    
    — Fourre-là donc, idiot !
    
    Je jouais l’indifférente, mais le sang bouillonnait dans mes veines.
    
    Fang était si dur et moi si trempée de mouille et de sperme, que sa bite s’enfonça d’un coup jusqu’au fond de mon ventre. Je poussais un cri perçant pour officialiser mon dépucelage aux yeux de mon mari.
    
    Intéressé par la chose, Edouard se mit à genoux pour mieux voir le phallus de son giton aller et venir frénétiquement dans ma chatte.
    
    Mon clitoris, gonflé et sensible, écrasé à chaque coup de reins par le pubis de mon amant, me délivrait d’agréables sensations. J’étais excitée par la curiosité perverse de mon mari d’autant que ce qu’il prenait pour une punition, effaçait la culpabilité de mon abandon ancillaire et adultérin de la nuit dernière.
    
    Fang accéléra. Il allait ...
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