1. L'île aux cochons (2)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... jouir. Cette fois, je me montrais vigilante.
    
    — Dites-lui de se retirer ! Je ne veux pas qu’il m’engrosse ! Je lançais à mon mari, tout en tentant de repousser le garçon qui se laissait aller de tout son poids.
    
    — Qu’il reste ! Cria mon mari, en pressant, avec ses deux mains, sur les fesses contractées de notre amant, dont la chaude semence remplit mon vagin pour la seconde fois.
    
    Edouard se leva et contempla son œuvre avec un sourire satisfait. C’était Pygmalion admirant sa Galaté, outragée par ses soins.
    
    — Pourquoi avoir fait ça, Edouard ? Je lui demandais, interloquée par son initiative. Il y a un grand risque que je me retrouve enceinte ! Je suis féconde.
    
    — Au moins, l’un de nous deux l’est, n’est-ce pas. Et puis, c’est bien pour cela que Maman nous a offert cette funeste croisière, n’est ce pas ! Elle sera contente et nous fichera enfin la paix.
    
    Je restais interloquée. Les voies du sang bleu sont impénétrables.
    
    Nous allâmes nous baigner dans le petit lagon. La question de ma nudité ne se posa plus.
    
    La nouvelle orientation que prenait notre couple me satisfaisait. Nous n’avions jamais été si proches et si complices. Mes appétits rassasiés, allongée sous l’abri, je m’endormis bien au chaud entre mon mari et notre amant.
    
    Fang me réveilla au milieu de la nuit en me caressant le ventre et les seins. Son dur pénis frottait ma raie culière. J’avais chaud dans le ventre.
    
    « Pourquoi pas ? Une fois de plus, une fois de moins… »
    
    Mais pas ici, contre ...
    ... mon mari ! Je voulais en profiter pleinement, cette fois !
    
    Je me levais, saisis la main du garçon et l’entraînais vers la plage d’autant plus facilement qu’une grosse lune brillait dans le ciel nocturne.
    
    Allongés sur le sable, nous nous sommes embrassés tendrement. Une chose en entraînant une autre, je lui apprenais à se servir de sa langue sur mon petit bouton et ma chatte, comme le faisait Clara. Il se montra avide d’apprendre et délicieusement persévérant.
    
    Frémissante, je le remerciais du plaisir qu’il m’avait donné en prenant sa bite dans la bouche. Je suçais la tige comme j’avais vu mon mari le faire. Le premier jet chaud arrivant dans ma gorge, me surprit. J’avalais par réflexe. Le goût était étrange, ni salé, ni sucré, ni amer, plutôt fade. Je crachais tout ce qui arriva ensuite.
    
    Fang était jeune et endurant. Il ne débanda pas. J’ouvris les cuisses et l’attirais sur mon ventre. Ce fut doux et agréable. Blottie dans ses bras, essoufflée et apaisée, je réalisais à quel point j’avais eu besoin d’être pénétrée par son membre viril.
    
    Le lendemain, Edouard et son disciple s’éloignèrent à la recherche de nourriture.
    
    J’avais une faim de louve ! Je repris le chemin du campement des matelots.
    
    Rodrigo était allongé près du foyer. Un cochon sauvage à la chair dorée fumait sur la broche. Préférant rester hors du camp pour ne pas risquer tomber sur le gros Mongol et l’autre Philippin, je lui fis signe de la lisière. Il coupa un morceau de viande, l’enveloppa et ...
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