1. L'île aux cochons (2)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... mari sucer le pénis du domestique qui m’avait dépucelée était perturbant. De mon côté, je venais juste d’échanger mon cul contre un morceau de viande. Je n’étais plus tout à fait une oie blanche.
    
    — Je comprends votre déception, darling. Je suis vraiment désolé. J’aurai dû tout vous dire, plaida t-il.
    
    — Mais pourquoi m’avez-vous épousée ? Demandais-je, calmement.
    
    — Maman veut un héritier plus que tout, et puis, la pression sociale, les apparences… Vous connaissez notre monde aussi bien que moi, ma chère.
    
    — J’ai vraiment cru que vous m’aimiez.
    
    — Mais je vous aime… À ma façon. Vous êtes belle, racée, intelligente et cultivée. Vous êtes la seule femme dont j’apprécie la présence et la conversation. Sinon, je vous donne ma parole que nous n’aurions pas convolé.
    
    Je saisis le plus petit bout de pulpe blanche entre le pouce et l’index, et le portais à ma bouche.
    
    — Et Fang ? Il est comme vous ?
    
    — Ce n’est pas la même culture ! Dans son pays, personne n’est choqué lorsqu’un jeune homme rend service à un homme mûr en échange d’une protection. C’est un peu comme à l’époque de la Grèce antique. Ce pauvre Capitaine l’avait pris en affection et assurait son éducation.
    
    — Le capitaine aussi ! M’exclamais-je, surprise par cette nouvelle révélation.
    
    Edouard rougit et baissa les yeux.
    
    — Écoutez, Edouard ! C’est un miracle que nous soyons encore en vie. Vous êtes ce que vous êtes et il serait du dernier ridicule de vous faire la morale alors que nous sommes dans ...
    ... une situation plus que précaire.
    
    Il me regarda avec surprise.
    
    — J’avoue que votre largesse d’esprit me surprend, darling.
    
    — Disons que j’ai élargi mon horizon et que je ne vois plus les choses de la même façon. Les épreuves m’ont mûrie, je suppose. Je répondis en baissant les yeux.
    
    Edouard parut soulagé d’un poids. Nous sortîmes de l’abri main dans la main sous les yeux de Fang, ravi de nous voir réconciliés.
    
    Je n’avais plus de raison de jouer à l’épouse modèle. Je m’allongeais nue sur le sable. Mon mari me regarda avec des yeux ébahis.
    
    — Mais darling ! Fang voit tout ! Protesta Edouard en faisant les gros yeux.
    
    — J’ai cru comprendre qu’il faisait pratiquement partie de la famille, non ? Je m’insurgeais, déterminée à défendre ma part de liberté.
    
    Il ouvrit la bouche pour rétorquer puis renonça, se contentant de secouer la tête en prenant un air abattu, comme si j’étais devenue folle. Contrariée, j’insistais.
    
    — Ne soyez pas si conventionnel, my Lord ! Je ne vais pas passer mes journées à porter ces feuilles qui me démangent sous prétexte d’épargner la pudeur de votre petit ami !
    
    — Regardez dans quel état, vous mettez ce garçon ! Protesta encore Edouard.
    
    Effectivement, le pénis de Fang se dressait à la verticale sur ses bourses rondes aussi dépourvues de poils que le reste de son corps, excepté un peu de duvet sur son pubis.
    
    — Oh ! Le pauvre petit bonhomme ! Dis-je, d’un ton sarcastique.
    
    — Vous devenez cynique et cruelle, maintenant ! Lança ...
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