Le Téléphone sonne, tu décroches (4) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (4)

... show improvisé.

— Eh bien, tu es vraiment à la hauteur. Je t’inviterai plus souvent et j’espère que tu reviendras, car, apparemment tu as l’air d’aimer.

Je pus m’habiller, mais Jean-Claude voulut garder mon soutien-gorge en souvenir et en me faisant promettre de revenir, bientôt, le rechercher. Je ne pouvais plus réfléchir et acceptai son invitation. Je me suis rendu compte, en prenant les devis signés, que j’avais été loin, peut-être trop loin, dans nos fantasmes et je ne demandais qu’à partir, au plus vite, de cet endroit où j’avais été humiliée, avec mon assentiment. J’étais rouge de honte en désertant le garage.

Philippe nous ramena à la voiture garée près du restaurant. Avant de nous quitter, il se tourna vers moi et se permit d’ouvrir ma veste. Je le laissai faire, je n’avais plus la volonté de réagir et il s’en rendait compte. Ses grosses mains poisseuses se promenaient sur mes seins et les malaxaient avidement. Il pouvait apprécier, une dernière fois, la vue que je lui offrais. Je refusai le baiser d’adieu et quittai son véhicule pour monter dans celui de Samba.

Arrivée à la maison, j’étais toujours dans la même tenue. Je n’avais pas eu le courage de réajuster mes vêtements et j’ai demandé à Samba s’il était satisfait de la soirée. Je pensais, bien évidemment, aux papiers signés. Nous en avons discuté un peu. Tout en parlant, je constatai que son regard ...

... se perdait dans l’échancrure de ma veste qui ne cachait pas grand-chose de mon anatomie. Instinctivement, j’écartai les pans de mon vêtement et fermai les yeux. Ses mains exploraient les moindres recoins de mon corps. Je le laissai faire et écartai les cuisses afin de lui faciliter son auscultation très approfondie jusqu’au moment où j’eus un orgasme sous l’action de ses doigts savants.

Je la serre très fort dans mes bras et l’embrasse tendrement. Elle tient toujours ma verge en main et je ne peux lui cacher une forte érection.

— Mon récit t’a fait de l’effet, apparemment !
— Je dois t’avouer que tu m’as fortement excité. Cependant, ce serait tout à fait incorrect de ma part de profiter de la situation. Je te laisse dormir et on en reparlera demain matin.
— Tu es gentil. Je suis exténuée.
— Tu as tout à fait raison de vouloir marquer un temps de pause et je te propose une semaine de congé sur la côte. Cela nous fera du bien et nous rediscuterons de nos fantasmes et de certaines situations à éviter. Les coups de cravache ne te font pas mal, j’espère.
— Non du tout. C’était très léger, terriblement excitant et nouveau pour moi tout comme l’approche d’une autre femme. Mais les circonstances auraient pu être plus dangereuses pour moi et je ne tiens pas à réitérer ce genre d’expérience sans la garantie de ta présence.
— Je suis d’accord. Je te laisse dormir en paix.