1. Le Téléphone sonne, tu décroches (4)


    Datte: 28/11/2019, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, inconnu, laid(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fouetfesse, Auteur: Viret, Source: Revebebe

    ... coups, je soulevais mon bassin, j’écartais plus fort les cuisses et les bras. Je me donnais à ma maîtresse. Puis ce fut le silence. Je sentis ses mains glisser sur mes seins. Elle se mit à les malaxer et elle recommença à presser les bouts très fortement m’arrachant des petits cris de plaisir. Ensuite, ses mains caressèrent mon ventre et descendirent jusqu’à mes genoux, puis remontèrent, légères, entre mes cuisses vers ma vulve, gonflée de désirs. Je m’offrais avec passion, je lui abandonnais mon corps.
    
    Les lèvres de Christiane s’étaient posées sur les miennes et les dévoraient fougueusement. Sa langue se promenait dans ma bouche et s’enroulait à la mienne. Sa main, glissée entre mes jambes, possédait tout mon vagin et ses doigts glissaient facilement à l’intérieur. Le plaisir montait doucement en moi. Je sentis un doigt ressortir de ma vulve et se promener tout mouillé sur mon anus. Elle recommença deux ou trois fois et subitement, une pression plus importante et tout son doigt glissa dans mes entrailles. Son pouce toujours en place dans mon vagin, elle me pénétrait les deux orifices et s’activait assez rapidement. Je lui appartenais et elle explorait mes recoins les plus intimes. Elle retira sa main et quitta ma bouche pour enfouir la sienne entre mes cuisses. Je sentais sa respiration sur ma vulve. C’était chaud et j’adorais. Ses lèvres se posèrent sur mes grandes lèvres et sa langue lécha mon clitoris et glissait en moi. Elle me rendait folle. Un formidable plaisir ...
    ... m’envahit. Je tendis tout mon corps nu comme un arc vers elle pour retomber et goûter à un orgasme salvateur. C’est la première fois qu’une femme me faisait jouir. Elle s’écarta et me laissa étendue sur la table. J’étais sur un nuage et la voix de Jean-Claude me fit redescendre sur terre.
    
    — À toi, Samba ! Tu baises cette bourgeoise et je signe les contrats. Prends ton plaisir et ton boulot est assuré. N’oublie pas que c’est la maîtresse de ton patron et que celui-ci ne se gênera pas pour te congédier si tu reviens bredouille.
    
    Je me sentais toute petite en entendant ces propos humiliants, mais j’étais résignée. Le choix de m’offrir en cadeau était ma décision et j’assumais. Les yeux mi-clos, je vis apparaître dans mon champ de vision un colosse noir tenant en main sa verge qui me parut gigantesque. Avec énormément de délicatesse, il me glissa sur la table afin de me positionner dans le sens de la largeur. Sans un mot, je me laissais faire. J’avais la tête dans le vide et, de son côté, les jambes pendantes. Il les écarta et se plaça entre celles-ci. Ensuite, il les mit autour de sa taille que je n’hésitai pas à serrer. Je me suis redressée en écarquillant les yeux d’admiration en voyant cet énorme sexe qui se dressait fièrement et allait à la rencontre de ma vulve ruisselante et ouverte. Il s’enfonça doucement et facilement en moi. Je gémissais de plaisir. Je l’ai senti très rapidement buter dans le fond de ma chatte et y rester un moment. Je me délectais, je me sentais bien ...