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Le Téléphone sonne, tu décroches (4)
Datte: 28/11/2019, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, inconnu, laid(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fouetfesse, Auteur: Viret, Source: Revebebe
... remplie et les parois de mon vagin étaient distendues. Il me remplissait de plaisir. Je le vis poser un doigt sur mon clitoris et le faire tournoyer dessus. J’accrochais plus fort mes jambes autour de Samba et propulsais mon bassin en avant afin de le sentir profondément en moi. Je fermais les yeux et laissais pendre ma tête en arrière en soupirant de bien-être. Deux mains se sont emparées de celle-ci pour lui imposer un mouvement de rotation. Mes paupières toujours closes, j’ai senti un sexe heurter mes lèvres et tenter de les forcer à s’ouvrir. Des effluves odorants me firent ouvrir les yeux pour apercevoir une petite verge assez épaisse qui, pourtant, semblait être en érection. Ce bout de chair au gland violacé dégageait une forte odeur. En levant les yeux, je pus distinguer un humiliant sourire de satisfaction qu’arborait Philippe. — Suce-moi ! J’ai desserré un peu la mâchoire et il en profita pour forcer ma bouche et y pénétrer entièrement. Il maintenait ma tête assez fortement pour m’empêcher de me dégager. Samba commençait ses va-et-vient qui ressemblaient plus à des coups de butoir tant il y mettait de la hargne. Il entrait et ressortait entièrement en poussant des grognements sourds. J’étais prise par mes deux orifices et je subissais les assauts déchaînés des deux hommes qui avaient été très échauffés par mon exhibition avec la secrétaire. J’étais malmenée et secouée dans tous les sens. Cependant, je commençais à prendre du plaisir. Des râles et des soupirs ...
... sortaient de ma gorge, je pompais le phallus de Philippe tantôt en le rentrant profondément, tantôt en le ressortant entièrement. Je le sentais vibrer en glissant mes lèvres chaudes et humides sur le prépuce de son gland gonflé par l’extase. Il me tenait toujours fermement rendant toute évasion impossible. Et pourtant, son odeur forte ne me dérangeait plus, mais, bien au contraire, m’excitait terriblement et je n’éprouvais plus l’envie de me soustraire à cette fellation sauvage. Soudain, le chauffeur se cabra et projeta sa verge dans le fond de ma gorge. La pression de ses mains sur ma tête augmenta et je sentis les premiers flots de sa sève bouillante qui jaillissait comme une cascade. La quantité était énorme et j’ai eu beaucoup de difficultés à tout avaler. J’étais toujours secouée par Samba qui me limait avec beaucoup de violence. Il cognait en cadence sur le fond de mon vagin, m’arrachant chaque fois des rugissements de plaisir. Il m’astiquait sauvagement le clitoris et subitement, une série de spasmes éclatèrent en moi. Je jouissais sans discontinuer. Je me tordais de plaisir, je cherchais ma respiration et aucun son ne sortait plus de ma gorge. J’ai senti son liquide chaud m’inonder le ventre avant qu’il ne se retire doucement de ma chatte gluante. J’étais exténuée, ma transpiration ruisselait sur mon corps meurtri et marqué au rouge par les coups de cravache. Je sentais le sperme et ma bouche était pâteuse. Jean-Claude m’aida à me redresser et me félicita pour le ...