1. Flash-back pour Manon


    Datte: 20/11/2019, Catégories: fh, fplusag, campagne, amour, intermast, pénétratio, fsodo, confession, historiqu, Auteur: Mongil, Source: Revebebe

    ... en douce lorsque la cousine les interpella :
    
    — Ou allez-vous, les amoureux ?
    — Nous allons à la rivière nous baigner.
    — Je peux vous accompagner ?
    — Bien sûr !
    
    Arrivés dans notre crique secrète, Sébastien et moi nous nous sommes déshabillés comme à notre habitude, la cousine a fait comme nous. Je me surprends à la regarder et me dis que cette femme qui approche de la quarantaine est belle, je comprends que Sébastien ait eu envie d’elle. C’est à trois que nous chahutons dans l’eau, nous bousculant, nous arrosant l’un l’autre.
    
    Sur la berge, après nos ébats aquatiques, où nos corps se sont frôlés, Sébastien bande.
    
    — Si vous voulez faire l’amour, dit Yvette, ne vous gênez pas pour moi !
    
    Je lui répondis :
    
    — C’est que je ne sais pas si c’est avec toi ou avec moi qu’il a envie de baiser !
    — Alors, baisons à trois, dit-elle !
    
    Et là, mon amoureux, s’est surpassé, passant de sa cousine à moi, il nous a fait jouir. J’ai aussi découvert que les caresses d’une femme sont également agréables. Yvette m’a caressée pendant que Sébastien me faisait l’amour et j’ai tellement aimé que je lui ai offert moi aussi du plaisir. Allongée sous elle, je lui ai sucé le clitoris tout en regardant la belle verge de mon amant aller en elle.
    
    Après nous avoir fait l’amour à chacune, une nouvelle fois affalées dans l’herbe, Yvette m’a dit :
    
    — Tu es une fille formidable.
    — Faire l’amour, avec deux femmes comme vous, c’était génial, nous dit Sébastien.
    
    Affalés les uns à côté ...
    ... des autres, mon jeune amoureux, entouré de ses deux maîtresses était heureux. Je ne suis pas jalouse de la belle cousine et j’étais tout aussi heureuse.
    
    Un baiser, nous a réunis tous les trois avant de rejoindre la noce.
    
    *****
    
    En 17, il fut blessé par un éclat d’obus. Manon, avertie, fit le voyage jusqu’à l’hôpital de campagne où il était soigné. Comme officier, il bénéficiait d’une alcôve « privée », ce qui leur permit tout de même certain ébats.
    
    Elle me raconte, alors que nous sommes enlacés.
    
    — Lorsque je suis arrivée dans son alcôve, je lui ai sauté au cou, nous avons échangé un baiser fougueux. Caressant son corps, j’ai eu envie de lui donner du plaisir et l’ai caressé sous le drap son membre tendu. Je l’ai branlé jusqu’à ce qu’il éjacule entre mes doigts…
    
    Le lendemain, il avait eu l’autorisation de s’asseoir dans le fauteuil à côté du lit… Quand je l’ai embrassé, nue sous ma jupe, je me suis mise sur ses genoux pour m’empaler sur sa virilité dressée. C’est à ce moment que le sergent Gaston est arrivé. Je n’ai pas bougé tout le temps de sa visite, je ne sais pas s’il s’est rendu compte de ce qui se passait ou non. Ce qui était merveilleux, c’est que Sébastien pendant tout ce temps est resté avec son phallus bien raide en moi. Je devais me retenir pour ne pas jouir. Lorsque Gaston est parti, il n’a pas fallu longtemps pour que le plaisir nous réunisse. À chaque giclée de son sperme, je frémissais de bonheur.
    
    À la fin de son récit, nous nous retrouvons ...
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