1. Flash-back pour Manon


    Datte: 20/11/2019, Catégories: fh, fplusag, campagne, amour, intermast, pénétratio, fsodo, confession, historiqu, Auteur: Mongil, Source: Revebebe

    ... Manon.
    
    La dame qui m’ouvre est celle qui assistait derrière son arbre à l’enterrement de Sébastien. Cette femme d’une cinquantaine d’années a beaucoup d’allure et même du charme. Il n’est pas difficile de s’imaginer en la regardant qu’elle a dû être très belle. J’avoue que, bien que beaucoup plus jeune qu’elle, j’éprouve un certain émoi en sa présence.
    
    — Je m’excuse de vous importuner, lui dis-je, mais ayant du temps libre, je souhaite tenter de remonter dans le temps pour connaître l’histoire de ce malheureux Sébastien, mort assassiné si près de chez lui.
    — Entrez, je vous prie.
    
    Assise à la table de la cuisine, devant un bol de café, elle commence par m’avouer avoir connu Sébastien et, qu’en sa mémoire, elle veut bien m’aider.
    
    Elle m’explique que cela a été son premier amour d’adolescente. Qu’après la guerre, lorsqu’elle a eu confirmation de sa disparition, elle a épousé le fils du maire, qu’elle est devenue une femme rangée. Elle a eu deux fils. Comme beaucoup après la seconde guerre, ses fils sont partis à la ville. Elle est veuve maintenant, son mari est mort quelques mois après la capitulation allemande de 45.
    
    Ce jour-là, elle ne fait que commencer à me raconter son histoire et celle de Sébastien. Une sympathie réciproque nous encourage à nous revoir. À chacune de nos rencontres, nous devenons plus intimes.
    
    Un jour, à mon grand étonnement, elle me dit :
    
    — J’ai une surprise pour toi !
    
    Elle se lève et va dans un placard dont elle extrait une ...
    ... liasse de lettres.
    
    — Par delà les années, j’ai conservé la correspondance de Sébastien, à l’insu de mon mari. Maintenant, je souhaite la relire avec toi.
    
    La liasse est importante et ce jour-là, seules quelques unes sont lues, nous ne sommes pas pressés, le plaisir de nous retrouver plusieurs fois par semaine étant partagé. Notre intimité grandit au fur et à mesure de nos rencontres et notre âge nous permet une certaine familiarité.
    
    Lorsqu’à la relecture des lettres de son premier amour, son émoi est trop grand, je la prends dans mon bras ou je lui prends la main. Ce qui devait arriver, arriva. Un jour où elle était dans mes bras, elle se tourne vers moi et je ne peux m’empêcher de l’embrasser. Je dévie de sa joue pour embrasser sa bouche et notre baiser devient très vite un baiser charnel, mes mains s’égarent à la rencontre de son corps. Son corps s’ouvre à mes caresses.
    
    — Si je te plais un peu, dit-elle, viens, j’ai envie d’un homme.
    — Tu me plais beaucoup.
    
    Me tenant par la main, elle me guide vers l’étage et sa chambre. Elle est encore belle, Manon, et après l’avoir dénudée, j’admire son corps avant de le couvrir de baisers. De ses lèvres que j’abandonne, je suçote ses tétins érigés, plonge ma langue dans son nombril, avant d’atteindre le délice de son abricot juteux. Je sens sa main s’activer sur mon membre tendu avant que sa bouche ne l’emprisonne. Après qu’elle ait trouvé une première jouissance sous les baisers de ma bouche sur sa vulve, mon membre pénètre ...
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