Une éducation particulière (4)
Datte: 16/11/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: raph&clem, Source: Xstory
... avec les coudes légèrement relevés dans une contraction flatteuse du torse, il jouait à l’homme mais cette posture ne pouvait masquer le côté rêveur de cet adolescent. Ces cheveux encore trempés étaient plus proche du brun que le châtain clair qu’ils affichaient d’ordinaire. Raphaëlle nagea lentement vers lui. Les jambes prolongeaient la silhouette longiligne du jeune garçon mais celles-ci offraient tout de même une bonne surface de chair et tendaient des muscles toniques sur lesquels des poils délicats blondissaient au soleil. En s’approchant encore, elle put distinguer le visage de son fils.
A cet instant, Clément fixait le vide comme s’il cherchait à résoudre quelque important problème. Ses traits anguleux – des pommettes saillantes, un menton juste présent comme il faut et le même nez droit et fier que sa mère – lui donnaient un aspect un peu inquiet, fragile, que ses jolies lèvres charnues faisaient tendre vers de la pure délicatesse. En avançant un peu encore, Raphaëlle scruta le torse qui maintenait le haut du corps relevé. Comme les jambes, les bras accusaient aussi de la finesse sans pour autant se réduire à des brindilles maladroites. Dans cette position, les abdos formaient quelques lignes discrètes dont les plus basses étaient parcimonieusement couvertes d’un duvet naissant. La mère était maintenant à quelques mètres de la berge quand elle surprit un détail déroutant : sous l’effet de l’humidité, le short de bain rouge et ample se retrouvait plaqué à ...
... l’entrejambe de son fils. Le tissu était devenu seconde peau et Raphaëlle vit, bien malgré elle, le membre de son fils à demi gonflé qui reposait sur sa cuisse gauche.
Cette révélation anatomique agita encore plus ses sens et provoqua de nouveaux doutes quant à leur désir respectif. L’émotion s’intensifia mais toute réflexion semblait s’éteindre avant même de naître. Certes, elle aurait pu s’interroger sur la nature de ce début d’érection, sur ses propres regards vers la virilité de son fils ou à propos des événements du mois passés et des possibles rechutes dans la spirale du désir : elle n’en fit rien. Peut-être était-ce ce cadre idyllique, peut-être était-ce l’espérance d’une complicité retrouvée, toujours est-il qu’elle laissa son trouble la pénétrer sans vouloir exercer la moindre contrainte sur ses sensations estivales. Lorsque cette belle journée s’acheva, Raphaëlle avait la tête dans les étoiles.
L’été était maintenant bien avancé et, si le froid entre Clément et Raphaëlle s’était quelque peu atténué, le désœuvrement vacancier et les prémices d’une canicule semblaient avoir figé le temps d’une autre manière dans leur appartement. Clément voyait occasionnellement ceux de ses amis qui n’étaient pas partis mais, la plupart du temps, il s’ennuyait ferme. Il faut dire qu’en dehors de quelques lectures et de séances de jeux vidéo il n’avait pas grand-chose à faire. Ceci était encore renforcé par le fait que, depuis la discussion castratrice avec sa mère, son activité ...