Rencontre à Lille
Datte: 18/03/2018,
Catégories:
ff,
jeunes,
inconnu,
fépilée,
amour,
volupté,
Oral
init,
Auteur: Ariane, Source: Revebebe
... dans ta vie, et de façon assez brève… c’est une nouvelle histoire de La Fontaine… la déesse et la grenouille, et… je suis la grenouille !
— Chuuuut ! si toutes les grenouilles pouvaient être comme toi… hummm… et je suis loin d’être une déesse, sinon je ne pourrais pas fricoter avec les humains, ajouta-elle dans un sourire. Et puis, hier j’ai passé la soirée à t’observer au pub, et clairement je t’ai suivie en sortant. Je voulais savoir où tu habitais. Mais ne t’en fais pas, je ne vais pas te sauter dessus, ajouta-elle en me pinçant le nez. Après réflexion, elle reprit : c’est déjà fait je crois, non ?
Inutile de vous dire que mon visage, dont les rougeurs s’étaient atténuées, se remit à rougir de plus belle.
— Qu’est-ce que tu as baragouiné dans l’interphone, tout à l’heure, au fait… J’ai seulement compris « bidon » et « lier ».
Je dois avouer que je poussai un grand ouf de soulagement…
— Rien, rien, une bêtise, répondis-je, plongeant mon nez dans mon verre…
— Dis-moi !
— Non, je ne peux pas… je te jure… c’était extrait d’un film.
— Tu sais que je te ferai cracher le morceau…
— Ça m’étonnerait !
Elle se rapprocha de moi, mutine, il fallait que je m’échappe, mais elle m’agrippa par le pied, le fond de verre de mon gin tonic se renversa sur mon jean et sur mon tee-shirt, et un fou rire nous prit. J’étais allongée sur la moquette, elle était sur moi à califourchon, en train de mourir de rire.
— Alors, parvint-elle à hoqueter, qu’est ce que tu m’as dit ...
... dans l’interphone ? J’ai les moyens de te faire plier !
Alors, imaginez-vous la scène. Sophie, 1 m 76, 55 kg, brune, cheveux longs et soyeux, des seins en forme de poire à croquer qui se tendent sous son top noir, et moi en dessous. Oui, clairement, j’étais sa proie et c’était un ravissement.
— Attends, je vais t’aider à enlever ton tee-shirt tout humide…
— …
Elle passa la main sur mes seins, venant agacer leur pointe au travers du tissu. Ils étaient tendus à l’extrême comme s’ils voulaient tout révéler de mes tentations. J’étais, moi si pudique, si réservée en ce qui concerne mon corps, en train d’acquiescer aux demandes d’une inconnue.
Et là, mon cerveau passa en mode Alerte : elle avait prémédité son coup, mais pas moi. Rappelle-toi, tu es en vrac. Qu’est-ce que j’ai mis, sous mon jean… Rien… J’avais enfilé ça rapidement pour descendre, et de plus je sentais une sourde humidité poindre entre mes jambes.
Pourtant, à nouveau je lui fis confiance et la laissai faire. Elle retira mon tee-shirt, et je vois encore ses yeux plonger sur mon ventre et mes seins. C’est étrange et déroutant de sentir un regard féminin vous désirer. Elle approcha le revers de sa main gauche entre mes seins et glissa une caresse de ma gorge vers mon nombril. L’atmosphère, déjà électrique, le devint encore plus. Ma main droite s’avança vers elle et fit glisser une de ses bretelles, découvrant son épaule. Elle se pencha et nos lèvres se trouvèrent encore une fois.
— Moi aussi, je veux te ...