Voisins, voisines…
Datte: 03/11/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Emile, Source: Hds
... dans des chemins discrets ou elle me fait conduire nu tout en me prodiguant mille caresses avant de faire l’amour sur la banquette arrière, toutes portes ouvertes. C’est dans une chambre froide, complétement frigorifié, que j’ai possédé la charcutière. Le coiffeur ne m’accepte plus que dans des tenues indécentes. Il me tond régulièrement les reins, les aisselles et le bas ventre pour me rendre plus présentable à tous. Il adore manier le rasoir entre mes fesses et autour de mon sexe. Ma respiration oppressée et de légers frémissements d’inquiétude le mettent en joie. Quant au boulanger, il affecte de violer mon intimité au fournil. C’est donc couvert de farine, rayé de traces blanches laissées par ses mains, que je traverse le quartier l’été en témoignant de sa prouesse. Je retrouve partout, y compris dans mon lit, la fine poussière de céréales. Pensée émue !
Deux ou trois fois la semaine, le matin vers dix heures, je me rends au café ou quelques admirateurs et admiratrices ont plaisir, entre deux bières, à me lutiner dans les positions de leur choix. Ils aiment, lorsque je m'allonge sur le bar, pouvoir me tripoter tout à leur aise et parfois lécher ma peau recouverte d'exotiques breuvages. La plus assidue est une femme simple assez ronde, au visage ingrat, dont les doigts boudinés s’insinuent dans tous les endroits possibles et dont les lèvres agiles embrassent et enserrent ce qu’elles trouvent avec douceur. En récompense, elle me donne à téter les mamelons excités de ...
... son opulente poitrine. Le bistrotier imbibé ne sait que me labourer de ses doigts la raie des fesses et me pénétrer violemment l’anus à sec tout en me traitant de lopette. Un jeune handicapé essaie de les freiner et ne cesse de me prodiguer de tendres, mais un peu baveux, baisers. Les autres alternent les gestes au gré de leurs envies. Mon souffle court et mes petits gémissements les encouragent. Pendant plus d’une heure, mon cœur cogne dans ma poitrine au gré des gestes de chacun. Pour rien au monde je ne raterais ce rendez-vous !
C’est cette activité qui a permis à mes compagnons d’étude, logés à la cité universitaire toute proche, de découvrir mes mœurs et ma réputation. Avec eux, ma soumission a pris un tour nouveau, une dimension nouvelle. Je suis devenu la coqueluche de soirées libertines à la cité internationale. La planète entière se succède dans mon cul ou accueille mon sexe dans les leurs, sans que je n’aie plus de cent mètres à parcourir. Un ami berbère m’a offert un burnous qui me permet de me couvrir chaudement à la saison fraiche tout en pouvant rapidement me dévêtir. J’avoue idolâtrer ce vêtement qui offre à chacun la possibilité de me trousser sans entrave. J’aime ce qu’évoque le frottement de la laine rêche sur ma peau nue qui me prépare aux scènes de sexe à venir. Et puis, ces corps jeunes qui se soulagent dans mes fesses et avalent mon pénis me donnent une raison d’exister. Les garçons jouissent en me traitant de « pute » et les filles de « porc ». C’est ...