1. Voisins, voisines…


    Datte: 03/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Emile, Source: Hds

    Cette histoire a commencé pour moi par un bel après-midi du mois de juin consacré dans mon quartier à la fête des voisins. La chaleur torride nous avait contraints à une tenue plus que légère. Pour ma part, chaussé de sandalettes, un court short et un marcel portés à même la peau, constituent mon unique vêture. Lorsque l'orage s'est enfin déclenché, la majorité des participants s'est ruée dans la pièce à vivre du plus grand logement du quartier alors qu'avec quelques autres je mets à l'abri le matériel et les denrées qui craignent l'eau. Lorsque nous entrons enfin, mes vêtements trempés sont devenus à demi transparents et dévoilent une partie de mon anatomie que je tiens, à l’époque, habituellement cachée. La grande majorité des participants fait mine de ne pas s'en apercevoir à l'exception d'un jeune voisin homosexuel et de notre hôtesse de petite taille. En fin de journée, alors que chacun rentre chez soi, cette dernière me retient sous un prétexte futile. Commence alors une conversation d'un tour plus intime et, l'alcool aidant, quelques confidences touchant à la féminité de mes fantasmes et à mes désirs de domination féminine et d'homosexualité. Elle interrompt notre conversation pour donner un rapide coup de téléphone à peine chuchoté puis la reprend sur un ton encore plus intime. Elle est maintenant assise près de moi et touche amicalement mon bras ou ma jambe pour appuyer ce qu’elle dit. Sa tête effleure la peau de mon épaule. J’en suis quelque peu troublé.
    
    Alors ...
    ... que je vais la quitter, son regard change et elle me demande avec insistance de me dénuder. Mon cerveau s'embrume et mon pouls s'accélère brutalement. Je ne sais comment me comporter et, sans doute flatté du désir manifesté, je libère lentement mes pieds, mon bassin et mon torse de toute protection. Elle manifeste son contentement en s’étirant langoureusement. Ma totale nudité, au milieu de cet important espace libéré pour recevoir les convives, et le regard amusé de mon hôtesse, me font monter le rouge aux joues. Elle s'approche et me pousse sous un escalier. Elle se saisit d’une fine cordelette, me lie les mains levées à une rampe. Elle commence à jouer avec mon corps et se réjouit de mon trouble grandissant. Au premier contact je hoquète d’émotion. Elle visite avec délectation de sa petite main boudinée les différents orifices à sa disposition tandis que mon phallus est soumis à une tension peu commune. Elle enlève sa robe et dévoile sa minuscule anatomie sans entrave, d’une étonnante blancheur. Je suis attendri et séduit par ce curieux petit corps. Ce tronc massif et dodu, ces étonnants petits membres terminés par des mains et des pieds de bébé. Ses grands yeux et son adorable sourire m’émeuvent. Elle m’attrape par le cou et se soulève avec aisance pour enficher sa vulve chaude et humide, dépourvue de toute pilosité, sur mon sexe. Elle se démène, son corps caressant le mien de toute sa surface, jusqu'à nous amener à l'orgasme. Puis elle saute au sol, me détache, me met dans ...
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