Voisins, voisines…
Datte: 03/11/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Emile, Source: Hds
... feu, ne ressens quasiment plus rien. Lorsque ses amis rassasiés ont disparu, mon hôte me douche en prenant un soin pressant de toute mon intimité puis me colle au mur, encore humide, pour me sodomiser à son tour sans ménagement. Epuisé, je n’arrive plus à jouir mais en ressens un bien être enivrant.
La semaine suivante c'est le tour de ma voisine de petite taille de me convoquer. Toutes les femmes de sa famille sont là, ses amies aussi. Je suis dénudé puis elles m'attachent écartelé aux montants d'un grand lit à barreaux tantôt sur le ventre pour me pénétrer de divers ustensiles, tantôt sur le dos pour venir se ficher sur mon sexe, poser leur clitoris tendus entre mes lèvres et faire lécher leurs vulves et leurs culs excités. À la fin de ces jeux, je suis revêtu d'une nuisette noire totalement transparente et prié de leur servir l'apéritif et le repas. J’adore cette tenue qui me remplit d’une confusion durable. Mes épaules se contractent et mes mains sont moites. À chaque passage, elles glissent leurs mains sous le léger vêtement et caressent les parties les plus tendres de mon anatomie. Au dessert, je suis à nouveau dévêtu alors que chacune de mes compagnes dénude le bas de son corps. Je vais devoir, à quatre pattes sous la table, pénétrer leur sexe de ma langue jusqu'à ce qu'elles en soient rassasiées. Je me venge d’elles en remplissant ma tâche avec toute l’énergie qui me reste, presque avec brutalité. Lorsqu'elles sont toutes parties, mon hôtesse réclame un ...
... cunnilingus anal profond, le sexe emmanché sur un godemiché aux vibrations saccadées. Ma bouche servile fait son office tandis que mes mains écartèlent autant qu’elles le peuvent ses petites fesses rondes et dodues.
Petit à petit, je prends l'habitude de me soumettre à ces exigences sexuelles. Je prends plaisir à ma honte et au regard que les autres portent sur moi. Le plus difficile est la soudaineté des attaques. Tous ceux qui sont au courant, et ils sont assez nombreux, s'autorisent à mille gestes intimes voire humiliants. J'ai une chance sur deux de me faire caresser les fesses pendant que j'achète mon journal ou de me retrouver subitement à demi dénudé dans les rayons du supermarché. Par contre, pas une semaine ne passe sans que je ne reçoive de nouvelles invitations à participer à des rites sexuels nouveaux. Je me partage entre de charmants partenaires aux poitrines fermes et aux fesses bien dessinées, garçons ou filles, actifs ou passifs, et des hommes et des femmes d'âge mûr plus retors et plus doux. L'avantage de tout cela est que je peux désormais vivre avec bonheur mon exhibitionnisme. Personne ne s'étonne plus de me voir circuler plus ou moins dénudé à la condition que je me soumette aux caprices de ceux que je rencontre. Le pharmacien partage mes faveurs avec l'épicière, le marchand de journaux avec le boucher. La fleuriste me pousse souvent dans son arrière-boutique pour lutiner parmi les fleurs. La monitrice d’auto-école m’invite à monter dans sa voiture et me conduit ...