Voisins, voisines…
Datte: 03/11/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Emile, Source: Hds
... oreillers le cul incandescent à la recherche d’un souffle d’air frais.
Une semaine passe au cours de laquelle je retrouve ma vêture soigneusement posée devant ma porte. Le dimanche suivant, alors que je sors pour faire quelques courses, je salue quelques voisins en grande conversation. Mes deux abuseurs font partie du groupe et me regardent d'un œil coquin. Les autres détournent le regard. Ma voisine de petite taille me fait signe d'approcher. Lorsque j'arrive à leur hauteur, les deux complices éclatent de rire. La main de l'une se pose sur mes fesses, celle de l'autre sur mon bas ventre, comme dans un geste de possession absolue. « Comment va notre petite salope ? » dit le jeune homo d'une voix forte. Sa main glisse dans mon short et en dégage mon bas ventre avec l’aide de la naine. « Vous pouvez toucher » dit-il aux autres en découvrant ma peau. L’un d’entre eux soupèse mes bourses en riant. Je suis rouge de honte et de plaisir, et ne sais, les fesses à l’air, comment me comporter. Je me tords sous leurs gestes. Gênés, les témoins rentrent chez eux en nous laissant tous trois au milieu de la rue… Le samedi suivant, le jeu prend une toute autre dimension. Alors que je fais la queue à la pharmacie, je suis rejoint par le petit homo qui me salue d'une caresse appuyée sur le sexe. Il dit alors d'une voix basse mais audible : « quel plaisir d'avoir un cul accueillant, disponible à tout moment, dans son voisinage ! » L'émotion m'empêche à nouveau de réagir pendant quelques ...
... secondes. Je croise des regards curieux ou gênés. Le pharmacien troublé et bafouillant m’attire dans l’arrière-boutique sous un prétexte futile et envahit mon vêtement pour pétrir et exhiber tout ce qu’il y trouve. Mon sexe se tend sous la caresse et mon anus s’échauffe. Une préparatrice rigolarde contemple la scène en se caressant la cuisse puis essuie d’un doigt distrait une goutte de sperme qui perle sur ma queue. Ils me raccompagnent tous deux à la porte, à demi nu, leurs mains au bas de mon dos. Je m’ajuste en pleine rue, non sans attirer l’attention de quelques passants.
L'après-midi de ce même jour, alors que je vaque à quelques travaux d'écriture, le jeune homo m'appelle au téléphone et m'intime de rejoindre son domicile. Je ne réfléchis pas une seconde et m'y rends le cœur battant d'anxiété et de désir. Lorsque j'y arrive, je constate qu’il a invité plusieurs connaissances masculines du quartier. Devant eux, il me caresse et me dévêt, puis me livre à leurs caprices. Ma bouche et mes fesses sont pénétrées maintes fois. J’ai l’impression que mille mains me recouvrent et me palpent. Des spasmes me secouent. J’ai chaud et transpire abondamment. Je m’étouffe de leurs bites et mon cul se dilate à l’extrême au point de percevoir la douceur de leurs vits. Je suis abusé dans mille positions, couché sur la table sur le ventre puis le dos, à quatre pattes sur un lit, à l’envers sur un fauteuil... Mon corps, glue de foutre. Je suis dans un état second et, hormis mes fesses en ...