Aurélie 8
Datte: 01/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... presque, les hommes retiraient les capotes et m’éjaculaient dessus. Je n’étais rien pour eux, rien qu’un objet que l’on souille. On n’éjacule pas dans un objet, on jouit dessus. Et c’est ce qui se passait pour moi. Combien déchargèrent ainsi, après m’avoir baisé la chatte ou la bouche ? Je ne saurais le dire. Toujours est-il, qu’à un moment, je me retrouvai seule, affalée dans l’herbe, couverte de foutre. Plus personne, à part ma maîtresse et moi.
C’est à ce moment qu’elle sortit et se dirigea vers moi. Epuisée de ces saillies répétitives, je réussis néanmoins à me redresser pour faire bonne figure devant elle. Elle détacha la laisse, tira pour me relever et me conduisit au coffre. Elle étendit un plastique au fond, me fit entrer, coucher et referma le coffre. Nous n’avions pas quitté l’aire de repos que je dormais.
Le réveil fut beaucoup plus difficile. J’eus du mal à sortir du coffre et ma maîtresse ne m’aida en rien, me houspillant plutôt pour me faire hâter. Je remontai les marches dans un brouillard d’où je n’émergeais qu’à la fermeture de la porte d’entrée de l’appartement. Ma maîtresse me tira jusqu’à la salle de bains où je me lavais d’habitude, détacha mes menottes et me dit :
Tu as cinq minutes pour enlever tout ce que tu as de collé sur toi. Tu peux faire couler de l’eau chaude. A tout de suite.
Et elle quitta la pièce. Je m’empressai de me glisser sous l’eau. Elle était chaude. Véronique l’avait rétablie. Cette chaleur me fit du bien et je me ...
... hâtai de me savonner et me rincer. Alors que je coupai l’eau, je sentis celle-ci devenir froide. Juste à temps. Je me séchai et revins dans le salon. Ma maîtresse était là, dans un fauteuil, uniquement vêtue d’un déshabillé transparent qui ne cachait de ses formes harmonieuses.
Je suis excitée, salope, viens me sucer. Dépêche-toi !
Je me mis à genoux devant elle et approchai de son entrecuisses. Son odeur était forte, mélange subtil d’urine et de mouille. Toutefois, j’étais bien trop fatiguée pour ressentir une quelconque excitation. Lorsque j’avançai les doigts pour écarter les lèvres de sa vulve, elle me reprit :
Les mains dans le dos. Seulement la bouche, applique-toi.
Je lapai la chatte odorante, de haut en bas et de bas en haut, avant de dénicher le clitoris, de le happer entre mes lèvres et de le faire tourner entre elles. Ma maîtresse ne tarda pas à gémir et ses hanches furent prises d’un mouvement de houle évocateur. Il ne me fallut que quelques minutes avant qu’elle ne se laisse aller à la jouissance.
Pendant qu’elle reprenait pied dans la réalité, je restai le nez dans sa chatte, car, lorsqu’elle était partie, elle avait plaqué mon visage contre son pubis, d’une main ferme.
Enfin, elle me relâcha, me repoussa et se leva, me faisant signe de la suivre, ce que je fis, à quatre pattes. Elle me mena dans ma chambre, et me fit coucher. Là, elle attacha mes poignets au collier et sortit, éteignant la lumière. Il ne me fallut que deux minutes avant de ...