1. Aurélie 8


    Datte: 01/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... réhabituer à la lumière. Elle détacha mon bâillon et mes bracelets. Lorsque ce fut fait, elle me dit :
    
     Va préparer le dîner. Sans te laver. Les salopes ne se lavent pas après avoir été baisée.
    
    Je me rendis à la cuisine, les cuisses collantes de sperme. Tout au long de la préparation du repas, je sentis encore la semence de l’homme couler, de ma chatte à mes cuisses, jusqu’à mes chevilles. Le fait que le sperme sèche me gênait quelque peu, mais je n’aurais jamais eu l’idée de me plaindre.
    
     Est-ce que le repas est prêt ? demanda soudainement ma maîtresse.
    
     Oui maîtresse !
    
     Alors, sers-moi tout de suite. Après, je crois que nous sortirons un peu.
    
    Je tressaillis à ces mots. Qu’avait-elle encore inventé. Quoi qu’il en soit, je n’avais qu’à obéir. Elle mangea silencieusement, jetant de temps en temps un regard vers moi, agenouillée à ses pieds. Bien sûr, je ne la regardai pas mais je savais, je sentais lorsque son regard se posait sur moi. Lorsqu’elle eut fini de dîner, elle se rendit dans la chambre. Elle en ressortit quelques minutes plus tard. Elle avait enfiler un jeans, un pull léger un blouson de cuir elle chaussa des bottines avant de m’appeler.
    
     Cybèle, viens ici !
    
    Je m’approchai d’elle, dans l’expectative.
    
     Mets les mains dans le dos.
    
    J’obéis aussitôt et elle me passa des menottes, qu’elle serra fort. Je ne pus m’empêcher de gémir, ce qui la fit sourire. Ensuite, elle me passa un collier et une laisse. C’est dans cet équipage qu’elle me ...
    ... fit sortir sur le palier, fermant la porte derrière elle. Elle me fit descendre par les escaliers. A aucun moment je n’aurais pu dissimuler ma nudité, si quelqu’un était survenu. Cela m’excita, de savoir que l’on pourrait me surprendre, dans le plus simple appareil. Cela ne semblait pas perturber Véronique qui me conduisit jusqu’à la voiture et me fit monter dans le coffre. Peu de temps après, la voiture sortit du garage.
    
    Je serais bien incapable de dire combien de temps nous roulâmes, mais je poussai un soupir soulagement lorsque le véhicule s’arrêta. Où étions-nous ? Je n’aurais su le dire. J’avais bien entendu de nombreux véhicules autour de nous, comme si nous étions sur une voie rapide.
    
    Lorsqu’elle ouvrit le coffre et me fit sortir, je me rendis compte que nous étions entourés de poids lourds. Elle me tira par la laisse et m’attacha à un banc, à quelques mètres de la voiture. Cela fait, elle posa une boite de préservatifs sur le sol et me dit :
    
     Je te laisse. Je suis là-bas, dans la voiture. Je veux que tu te fasses baiser par tous les hommes qui en auront envie et qui t’approcheront. Tu ne devras refuser personne, tu entends, personne !
    
     Mais maîtr…
    
    Je n’eus pas le temps d’en dire plus. Une gifle magistrale me fit taire, et elle reprit, d’une voix pleine de colère :
    
     J’ai dit personne, compris ?
    
     Oui maîtresse, répondis-je, la tête basse, la joue brûlante et les larmes aux yeux.
    
     N’oublie pas de leur dire de mettre une capote, s’ils veulent ...
«1...345...»