1. Aurélie 8


    Datte: 01/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    Je me réveillai au son de la sonnerie de mon réveil. Je jetai un œil sur l’affichage 06 h 45. Je me levai, fis une toilette rapide et me précipitai dans la cuisine. Tout en déjeunant, je préparai le petit déjeuner de ma maîtresse.
    
    Je bondis sur mes pieds et m’emparai du plateau, dès que j’entendis la clochette tinter. Après avoir frappé, j’entrai dans la chambre.
    
     Bonjour, maîtresse, avez-vous bien dormi ?
    
     Oui, très bien. Et toi, Cybèle ?
    
     Aussi, maîtresse. Voici votre petit déjeuner. Que dois-je préparer comme vêtements, maîtresse ?
    
     Sors mon ensemble pantalon bleu, un chemisier blanc, manches longues, mes escarpins noirs. Pour les sous-vêtements, mon ensemble culotte et soutien-gorge push-up bleu ciel.
    
     Bien maîtresse ! bon appétit !
    
    Pendant que Véronique dégustait son encas, je me hâtai de préparer ses vêtements. Je palpais avec délice et envie la texture de ses sous-vêtements, sous-vêtements qui m’étaient interdits. Je disposai toute la toilette demandée sur le lit puis m’agenouillai, les mains dans le dos, attendant les consignes de ma maîtresse. Sans s’occuper de moi, elle repoussa son plateau, se leva et se rendit dans la salle de bain. Restée seule, je me mis à réfléchir à ma dépravation.
    
    En quelques semaines, j’étais passée de femme frigide et coincée à nymphomane, soumise, masochiste et zoophile. Quelle évolution. Bientôt, je serais annelée et prostituée. Un pas de plus vers la dégradation, ma dégradation. Et dire que j’aimais cela. ...
    ... Plus encore, je l’attendais et l’espérais, avec une impatience, comme un ultime cadeau du ciel. Pourtant, je me doutais que la pose des anneaux ne se ferait pas sans douleur, mais, rien que d’y faire allusion, je sentis que je mouillais. J’étais si pris par mes pensées que je n’entendis pas ma maîtresse m’appeler. Ce ne fût qu’au troisième appel que je répondis enfin :
    
     J’arrive, maîtresse !
    
     Que se passe-t-il, Cybèle, cela fait trois fois que j’appelle !
    
     Pardonnez-moi maîtresse, j’étais perdue dans mes pensées !
    
     Tu n’as pas autre chose à faire ?
    
     Si maîtresse. Pardonnez-moi ! Je mérite une punition !
    
     Pour l’instant, passe-moi ma serviette et rapporte le plateau à la cuisine. Ensuite, lorsque tu auras fait la vaisselle, tu iras dans la chambre passer tes bracelets.
    
     Bien maîtresse !
    
     Attend, approche, fit-elle, au moment où je faisais demi-tour.
    
    Je m’approchai tout près d’elle. Elle se pencha un peu et frôla mon mont de Vénus, puis, sans autre forme de procès, introduisit un doigt dans mon vagin. La pénétration fut aisée, tellement j’étais trempée. Avec un sourire goguenard, elle me le fit sucer, puis m’envoya vaquer à mes occupations.
    
    J’avais déjà placé mes bracelets lorsqu’elle arriva, toute habillée dans mon réduit.
    
     Etends-toi sur le dos, salope ! Ecarte les bras et les jambes.
    
    Elle m’attacha les poignets aux montants du lit, puis ce fut le tour des chevilles. J’étais immobilisée, bras et jambes écartées. Ensuite, elle sortit ...
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