1. Aurélie 8


    Datte: 01/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... te baiser.
    
     Oui maîtresse !
    
     A tout à l’heure, salope !
    
    Et elle me quitta. Je l’entendis réintégrer sa voiture et j’attendis le premier client, qui ne tarda pas. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, avec un gros ventre, distendant sa chemise. Tout d’abord, il me fixa, regarda autour de lui, se demandant où était le piège. Je ne fis rien, ni pour l’attirer, ni pour le repousser. D’ailleurs, avais-je besoin de faire quelque chose, ma nudité, ainsi que mes menottes et la laisse, étaient un appel au viol.
    
    L’homme s’approcha doucement, me faisant face, à me toucher. La tête baissée, je ne voyais que son bide, énorme. Il passa ses doigts sur ma joue. Mon immobilité le fit s’enhardir. Il baissa sa braguette, farfouilla par l’ouverture et sortit une queue encore à moitié molle. Je déglutis et attendis, me demandant comment j’allais pouvoir sucer cette pine, gênée par ce ventre proéminent. Ce fut lui qui trouva la solution. Il baisa son pantalon et son slip, s’assit sur le banc où était fixée la laisse, et, tirant dessus, m’obligea à me rapprocher de son membre violacé, turgescent. Il n’était pas long, mais plutôt épais. Je me penchai et gobai le gland. Il sentait quelque peu la sueur et l’urine. Je m’appliquai à monter et descendre le long de la courte colonne de chair. Au bout d’un moment, il sembla apercevoir la boite de capotes. Il en sortit une, me repoussa et se releva. Je le vis passer le préservatif se positionner derrière moi. Il saisit mes hanches, ...
    ... puis introduisit un doigt dans ma chatte, pour vérifier la lubrification.
    
     Ah, la salope, elle est trempée. Tu as envie de te faire baiser ?
    
    Comme je ne répondais pas, il me claqua le cul et redit :
    
     Alors, tu veux que je te baise, salope ?
    
     Oui monsieur, répondis-je d’une voix rendue rauque par l’excitation, baisez-moi, bourrez-moi le con !
    
    Je le sentis tâtonner pour trouver ma chatte, puis pousser son gland. Son ventre, qui gênait, ne permettait pas une pénétration profonde, à mon grand dam. Lui non plus ne devait pas aimer la situation, puisqu’il se releva, quitta son pantalon et son slip, repassa derrière moi. Je sentis qu’il appuyait sur mon dos afin de me faire m’aplatir. Je posai les épaules au sol, cambrant au maximum ma croupe. Je le sentis me pénétrer à nouveau, cette fois plus profondément. Je sentis ses couilles heurter mon mont de Vénus. S’il n’était pas très long, il me remplissait en largeur et je ne tardai pas à gémir de ses va et vient dans ma chatte.
    
    Notre coït n’était pas particulièrement discret et, au bout de cinq minutes, plusieurs autres routiers faisaient cercle autour de nous. Tous avaient sorti leur sexe et se masturbaient, attendant probablement leur tour. Deux d’entre eux ne purent tenir longtemps et je reçus leur décharge sur le dos.
    
    Au bout d’un moment, il sortit de ma chatte, aussitôt remplacer par un autre. Lui, pendant ce temps, s’approcha de mon visage et éjacula sur mon front.
    
    Et cela continua. A chaque fois ou ...
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