Le Téléphone sonne, tu décroches (1) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (1)

... Je peux vous assurer que je ne porte que ce genre de sous-vêtement et je pense, sans me vanter, que je le porte bien.
— J’en suis convaincu, Madame.
— Lequel préférez-vous de tous ceux-ci ?
— C’est difficile de choisir tant, ils sont magnifiques, mais j’ai une préférence pour celui-ci. Il est original et particulier. Je me demande comment vous le portez, car cette rangée de perles qui sépare le devant de l’arrière ? Je ne comprends pas ????
— Eh bien, je vous explique. C’est vrai qu’il est beau. C’est mon préféré. Les perles rentrent dans la raie et dans la vulve. Ce n’est pas toujours agréable à porter. Voulez-vous le voir porté ?
— Heu !!!
— Je peux vous le passer si vous le désirez.
— Êtes-vous sûr ? Est-ce bien raisonnable ? Et puis, je n’ai pas beaucoup de temps et je ne voudrais pas vous importuner.
— D’abord, vous ne me dérangez pas. Je vous ai demandé de prendre le temps, et ensuite, je dois vous avouer que j’en ai envie.

Elle a achevé sa phrase dans un souffle, à peine audible, que j’ai eu peine à l’entendre. Tout comme elle, j’attends avec impatience la réponse d’Éric. Va t’il oser lui dire oui ou va t’il changer de conversation ? On peut deviner son trouble tout comme celui de mon épouse qui a les joues un peu roses. Je peux apercevoir celle-ci qui tient dans ses mains le string dont il est question. C’est vrai qu’il est beau et je me demande, s’il répond par l’affirmative, comment elle va s’y prendre pour le passer.

La réponse tarde à venir.

— Et ...

... à part celui-ci, lequel vous tente ?
— Celui-ci me paraît bien aussi.
— Quelle coïncidence ! C’est le même que je porte actuellement. Il est transparent et très très petit. Tellement petit que j’ai dû m’épiler presque totalement et la matière est agréable à porter. Je vous le montre.

Voilà, elle s’est lancée et ne lui donne pas le temps de répondre, car très vite elle fait glisser sa jupe sur le sol et apparaît en string face à Eric qui, à mon avis, ne parviendra pas à boire correctement son café. Elle se retourne pour ramasser le bout de tissu sur le carreau de la cuisine et exhiber, très largement, son fessier et le renflement de sa vulve dont le tissu, un peu humide, trahit son état d’excitation.

Elle se met de nouveau face à lui et s’approche à petits pas presque en poussant son pubis en avant.

— Qu’en pensez-vous ?
— Je vous trouve très belle et très excitante. Vous le portez admirablement bien.
— La texture est douce et vous pouvez constater qu’il ne cache pratiquement rien de mon intimité. Mais touchez le tissu et vous vous rendrez compte.

Elle s’approcha encore plus près de lui, mais reste toujours dans mon champ de vision. Comme il ne réagit pas, je la vois se pencher pour saisir sa main et la porter fermement, mais doucement, en le regardant dans les yeux, vers son sexe et la mettre bien à plat sur celui-ci.

D’où je suis, le spectacle est torride. Plus personne ne dit mot et il se dégage de la scène une sensualité extraordinaire. La respiration de ...