Le Téléphone sonne, tu décroches (1) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (1)

... vois déglutir de temps en temps. Je suis halluciné. Elle avale le sperme de son amant sans montrer le moindre signe de dégoût, elle qui est souvent réticente à recevoir le mien.

Pendant qu’il se rhabille, elle entreprend de s’essuyer l’intérieur des cuisses, sa vulve et son anus. Ensuite elle prend un nouveau string pour se le mettre.

— Attends ! Que fais-tu là ?
— Mais je me rhabille aussi.
— Non, tu restes nue et tu viens me raccompagner à la porte.
— Comme ça ??? Et l’entretien de l’alarme, tu ne le fais pas ?
— Non, je reviendrai la semaine prochaine.
— Mais, que vais-je dire à mon mari ? Et puis la semaine prochaine, il voudra être là.
— C’est ton problème, mais je veux te voir seule, car j’aurai une surprise de taille pour toi. Tu as l’air d’aimer çà, ma cochonne.
— Tu m’embarrasses.
— Par rapport à ton mari, tu l’envoies ailleurs. Pour la surprise tu verras. Je te téléphonerai une heure avant d’arriver et je veux que tu me reçoives nue et simplement vêtue du string à perle que tu n’as finalement pas essayé. Pourtant, tu en avais l’intention et même l’envie. Tu as tout fait pour me retenir, tu me le disais lors de mon entrée, et tu as réussi. Je dois donc revenir pour achever ou faire mon travail. Comme tu le souhaites ?
— J’ai envie que tu reviennes.
— À la bonne heure. Maintenant accompagne-moi jusque la porte d’entrée. Tu es magnifique et terriblement bandante.

Elle lui avait ...

... presque chuchoté à l’oreille son envie qu’il revienne. Pour que je ne l’entende pas ? Cette interrogation commence à me trotter dans la tête et à m’énerver.

Il se dirige vers le hall suivi par Manon qui a l’air d’être à l’aise dans sa nudité. Il ouvre la porte en grand laissant entrer un flot de lumière qui surprend mon épouse. D’instinct, elle essaie de cacher sa nudité en mettant une main sur le sexe et l’autre sur la poitrine.

Éric se retourne et avance vers mon épouse qui semble être tétanisée de peur d’être vue de l’extérieur. Fermement, il lui enlève les mains pour mettre ses bras le long du corps et l’embrasse tendrement en ne se privant pas de balader ses mains sur le corps de Manon. Elle frissonne de plaisir. Son corps lui appartient et ne fait rien pour se soustraire aux dernières caresses de son amant. Une main descend sur son ventre pour venir effleurer sa vulve d’avant en arrière et de l’autre main, il lui malaxe le sein droit et lui pince le mamelon qui pointait rageusement. Un tremblement parcourt le corps de mon épouse qui étonnement se laisse faire malgré la possibilité d’être vue par des passants, elle écarte, même, un peu les jambes pour lui faciliter la tâche.

— À la semaine prochaine.
— Oui. Je t’attends avec impatience.
— J’oubliais de te dire que je serai assisté par mon apprenti. Tu verras, il est très gentil.

Et il ferme la porte, laissant Manon perplexe dans le hall.