Le Téléphone sonne, tu décroches (1)
Datte: 26/10/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
inconnu,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Viret, Source: Revebebe
Le téléphone sonne et tu décroches.
Une prise de rendez-vous pour l’entretien de l’alarme ; demain mardi vers 12 h.
Ce rendez-vous ne te convient pas, car tu seras en pleine préparation du repas et tu n’auras pas l’occasion de faire une petite bronzette sur la terrasse en ces débuts de beaux jours. Il commence à faire très beau et tu as envie d’en profiter.
Tu m’en parles le soir et tu te demandes si tu ne vas pas décommander et remettre à plus tard.
Je te fais remarquer qu’il est essentiel d’exécuter cet entretien et puis une idée me vient.
Cette pensée me trotte dans la tête depuis un moment. Un fantasme. Je t’en ai déjà fait part, mais tu as toujours refusé d’en discuter même lors de nos préliminaires, afin de me mettre « en condition ».
Il est vrai que je ne t’en manifestais plus le désir, mais ce fantasme me hantait quotidiennement. La réalisation de celui-ci est donc, pour moi, rangée dans un tiroir qui ne s’ouvrira jamais.
Dans la vie il y a parfois des évènements, peut-être une conspiration de l’univers, qui mettent tout en place pour vous aider à réaliser certaines choses. C’est un moment qu’il ne faut surtout pas louper, car une autre occasion ne se présentera pas. Dès lors qu’une porte s’ouvre, il faut y entrer à tout prix.
Aujourd’hui, je prends la liberté de franchir le seuil de la porte de mon fantasme.
— Il me semble que l’année dernière tu n’étais pas insensible aux charmes du jeune homme qui avait fait le travail. Il est ...
... franchement possible que ce même monsieur revienne cette année.
— Et alors que veux-tu dire ????
— Et, de plus, ce jeune monsieur non plus n’était pas insensible à tes formes. Je me souviens qu’il n’arrêtait pas de te détailler des pieds à la tête. C’était toujours avec toi qu’il dialoguait, te donnant des explications sur le fonctionnement de l’alarme, explications que je t’avais déjà données, du reste. Il te suivait partout dans la maison et essayait, à tout moment, de te toucher ou t’effleurer gentiment. Tu t’en amusais et ton regard pétillait.
— Je ne comprends pas où tu veux en venir.
— Je dis que tu peux joindre l’utile à l’agréable et te jouer une petite drague gentille.
— Tu es fou !!! N’y pense même pas. Tu me vois séduire ce jeune homme. Et cette drague, restera t’elle « gentille » ? Tu me prends pour qui ?? Non je ne veux pas et arrête d’en parler. Je sais que cela fait partie de tes fantasmes, mais je n’ai pas envie d’en discuter et surtout, tu m’entends bien, de le réaliser.
— OK. Ça va !!! On ne va pas en faire une affaire d’État. Cependant, c’est l’occasion, et une drague n’a jamais fait de mal à qui que ce soit, bien au contraire. Tu sais que cela m’excite et me ferait plaisir. Je connais tes penchants pour l’exhibitionnisme, quoique tu n’aies pas beaucoup l’occasion de le pratiquer, mais demain c’est le moment ou jamais. Et en plus, tu as le consentement de ton mari. Donc, si tu réfléchis, tout le monde est content excepté, peut-être, ce jeune homme, à qui on ne ...