Le Téléphone sonne, tu décroches (1) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (1)

... ma femme s’accélère et sa poitrine suit harmonieusement le rythme. Ses mamelons sont érigés comme s’ils voulaient passer à travers le tissu du chemisier. Son regard, soutenant celui d’Éric, est lumineux.

Elle maintient la main du jeune homme contre son pubis et lui fait faire des petits mouvements circulaires qu’elle a tendance à suivre en ondulant du bassin. Elle doit certainement mouiller comme une fontaine. À ce rythme-là, elle ne va pas tarder à jouir. Elle ferme les yeux et c’est le moment qu’Éric choisit d’avancer sa main restée libre vers la poitrine de Manon. D’une douceur infinie, je le vois effleurer ses bouts qui doivent être très sensibles. Il effectue plusieurs passages et à partir de ce moment, tout va très vite. Ma femme écarte un peu plus les jambes, porte son pubis en avant, accélère la cadence et commence à gémir bruyamment, sa respiration est haletante, la tête renversée en arrière et les paupières fortement crispées. Éric, d’un geste rapide, écarte brutalement les pans du chemisier dont les boutons s’ouvrent avec une facilité déconcertante pour laisser apparaître deux seins magnifiquement dressés en avant. Il empaume l’un d’eux avec moins de douceur et commence à le malaxer.

Un grand cri rauque sort de la gorge de mon épouse. Tout son corps est pris d’un tremblement. Elle arrête net sa masturbation pour appuyer plus fortement encore la main d’Éric sur sa vulve en feu. Elle se penche en avant et appuie sa tête sur l’épaule du jeune homme qui, ...

... maintenant, pétrit plus doucement son sein. La tension est à son comble et Manon, dans une expiration, lui souffle à l’oreille :

— Pénètre-moi. Vite. Vite. Avec tes doigts.

J’aperçois la tête d’Éric qui s’incline un peu vers le sexe de ma femme abandonnant sa poitrine. D’une main, il écarte le string et, avec deux doigts de l’autre main, il pénètre facilement et assez brutalement dans le vagin fortement lubrifié. Il exécute plusieurs va-et-vient rapides et commence à pincer le clitoris qui doit être tendu à l’extrême, à le rouler entre son pouce et l’index. Mon épouse se crispe davantage et se cramponne aux épaules du jeune homme qui s’active de plus en plus vite et de plus en plus profondément. D’où je me trouve, j’entends nettement les clapotis provoqués par les mouvements sans relâche des doigts dans le vagin d’où s’écoulent des sécrétions abondantes. Tout à coup, sous l’emprise de son deuxième orgasme, un feulement sort des entrailles de ma femme qui manque de vaciller et s’accroche davantage à Éric. Pour la retenir, il est obligé d’arrêter sa pénétration, de placer rapidement son genou entre les jambes de Manon et de la laisser retomber doucement sur sa cuisse.

Pendant que celle-ci récupère, il lui dépose des petits baisers rapides sur le cou, lui mordille l’oreille et la caresse dans le dos, sous le chemisier, avec le plat de la main et dans un mouvement très ample des fesses à la nuque.

Ils restent quelques minutes dans la même position. Je perçois encore quelques ...