1. Le Téléphone sonne, tu décroches (1)


    Datte: 26/10/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, inconnu, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, pénétratio, fsodo, Auteur: Viret, Source: Revebebe

    ... très érigés. Son bassin se colle au mien et de mes deux mains j’empaume chaque fesse. Je les devine nues sous la jupe et je ne manque pas de les pétrir à ma guise. Quelle sensation agréable et sensuelle de sentir son épouse totalement abandonnée, quasi nue, dans vos bras. En passant le doigt le long de sa raie, je peux sentir le petit bourrelet que fait la ficelle de son string minimaliste. Je respire à pleine narine son parfum.
    
    Notre baiser est interrompu par le « dring » de la sonnette. Aussitôt elle réajuste un peu sa tenue et me pousse derrière la porte du salon qui donne sur le hall d’entrée, mais la laisse légèrement entrouverte pour me permettre, je suppose, d’assister à l’arrivée de ce jeune homme.
    
    Elle est merveilleuse dans cette tenue. Je la vois marcher, plutôt onduler, vers la porte d’entrée quel ouvre doucement pour se retrouver face à notre homme de l’année dernière qui lui décroche un large sourire, mais que je distingue à peine, car ma position n’est pas confortable et j’ai peur d’être vu.
    
    — Bonjour Madame ! Comment allez-vous ?
    — Monsieur ???
    — Je m’appelle Éric et je suis venu pour l’entretien de l’alarme. Me reconnaissez-vous ? Vous m’avez déjà reçu l’année dernière.
    — Vaguement, mais entrez donc svp. Il faut que je vous dise que je trouve un peu fort que votre patron me prévienne la veille de venir. J’ai du réorganiser ma journée et vous avez de la chance que mon mari n’est présent que ce soir, car il aurait certainement refusé votre visite ...
    ... pour la remettre à un autre jour quand il sait s’arranger pour être là.
    
    Je trouve qu’elle ne se débrouille pas mal pour lui signaler mon absence. J’aperçois Éric rentrer dans le hall, mais je ne comprends pas pourquoi mon épouse reste près de la porte qui est largement ouverte et qu’elle tient encore par la clenche.
    
    J’essaie d’en voir un peu plus par l’entrebâillement de la porte au risque d’être vu et je constate que l’ouvrier s’est retourné pour continuer à parler à ma femme qui, apparemment, a décidé de ne pas bouger d’un pouce.
    
    Maintenant, je le vois de dos et, en arrière plan, Manon qui lui fait face. Le spectacle est magnifique. Elle sait ce qu’elle fait et j’apprécie son initiative, car, le flot de lumière entrant dans le hall, permet à Éric d’observer, à contre-jour, les formes magnifiques de ma femme, d’autant que celle-ci prend le temps et est bien campée sur le seuil de la porte, jambes légèrement écartées et positionnées légèrement de profil ce qui autorise une vue superbe de sa poitrine et bien sûr, de son entrejambe.
    
    Éric semble captivé par cette exhibition volontaire, car il dépose, sur le sol, sa trousse à outils pour continuer la conversation. J’entends au son de sa voix un léger embarras devant un tableau aussi somptueux.
    
    — Je regrette, Madame, mais ce n’est pas de ma faute. Je suis désolé pour le contre temps qui vous est imposé et vous promet d’être rapide.
    — Je sais que vous n’êtes pas responsable et vous excuse. Par contre, je vous demande, ...
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