Le Téléphone sonne, tu décroches (1) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (1)

... le spectateur ou de tout stopper ce qui risque d’être très difficile au regard de sa détermination.

« Prends tes responsabilités ». Elle a parfaitement raison et je dois la laisser faire sinon je ne suis pas cohérent avec moi-même.

Je sors de la salle de bain quand mon épouse m’appelle et me demande de venir l’embrasser très fort.

— J’ai aussi peur que toi, tu sais. Mais j’ai très envie de le faire et je sais que cela te fait plaisir. Tu as éveillé en moi des sentiments que je ne me connaissais pas. Sache que je t’aime très fort et que tu seras toujours mon mari adoré.
— Je t’aime aussi. Comment vas-tu t’y prendre ??
— Ça, tu le verras bien si tu es présent et je le souhaite, on ne sait jamais. Tu auras un petit indice en descendant à la cave.
— À la cave ?
— Oui. J’ai tout combiné ce matin. Tu vas être étonné.

Je l’embrasse tendrement et elle remarque que je suis un peu à l’étroit dans mon pantalon qui tente à peine à camoufler une terrible érection.

— Mais tu bandes !!!!
— On ne peut rien te cacher. Oui, je suis terriblement excité par la situation. À tantôt !

Je quitte la pièce d’eau et me dirige vers les escaliers qui descendent au sous-sol et en passant par la cuisine, je remarque le gode sur le coin de la cuisinière.

C’est tout simplement féerique. Sur les fils à linge pend toute une collection de strings. On se croirait un jour de carnaval. Toutes les couleurs y sont représentées.

Je ne sais toujours pas comment elle va s’y prendre, mais ...

... pour ça, je lui fais confiance, car elle ne manque pas d’imagination. Je sais que l’ouvrier doit descendre à la cave et qu’il y reste un bon moment. En effet, le boîtier central de l’alarme s’y trouve et il doit contrôler tous les circuits de cet endroit et également un circuit d’alerte spécial qui se situe au pied du lit dans notre chambre. Je m’explique alors le lit refait, mais pas les strings sur les fils.

Mon érection me gêne toujours et en quittant la maison je me promets d’y revenir le plus tôt possible avant midi.

Il est 11 h 45 quand je rentre dans notre demeure. J’y trouve mon épouse radieuse, mais surtout énervée. Elle est superbe et terriblement aguichante. Ses cheveux blonds sont coiffés à la lionne, le maquillage discret, le chemisier très fluide met bien en évidence sa superbe poitrine très ferme et la transparence du tissu laisse voir ses aréoles qui sont déjà érigées en raison de son excitation. Les trois premiers boutons défaits permettent d’apercevoir, lorsqu’elle se penche très peu, les seins dans leur presque totale entièreté. La mini-jupe en godet, de la même fibre que le chemisier, laisse passer la lumière et la vision à contre-jour est superbe. Le dernier bouton est défait et de ce fait, accroche le regard au moindre pas en avant.

Elle accourt vers moi et m’embrasse langoureusement. Sa bouche est chaude et très agréable. Son baiser divin. Elle se fond littéralement sur moi et s’abandonne totalement. Je sens sur mon torse la pointe de ses seins ...