1. Le miroir à trois faces


    Datte: 16/03/2018, Catégories: fff, hplusag, jeunes, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, intermast, Oral init, Auteur: Anophèle, Source: Revebebe

    ... précaution que demande la fragilité du moment. L’instant d’avant n’aurait-il été qu’un test ? Ce qui trouble finalement, ce ne sont pas tant les manières. C’est bien plus la perception qu’on a de leurs conséquences, je crois. Or comme si la suite ne pouvait plus dès lors prendre des allures anodines, mademoiselle passe en mode docilité. Oh elle a bien un peu couiné à sentir les doigts se promener sur ses cuisses.
    
    Là pourtant, c’est moins nerfs-à-vif. Elle laisse explorer avec une dégaine étonnante. Elle regarde sans broncher la madame envelopper « l’embryon de poitrine » (terme absurde et très irréaliste, imagé par Stéphanie elle-même un soir précédent) et se fait toute moindre en sentant la main se plaquer sur un néné. Ah les vertus du contact direct avec les zones érogènes ! La force de persuasion d’une aînée que l’on sait déterminée, mêlée à une pointe d’humour et à un brin de tendresse… j’en connais peu qui résistent à ce genre de traitement.
    
    On dessine des petits ronds autour des aréoles. On triture les mamelons entre les index et les pouces jusqu’à se laisser surprendre par un tressaillement. Incidemment encore, on s’aventure plus bas. On marque un arrêt à la hauteur du nombril et on atteint l’entrejambe. Là, on presse… tout doucement parce qu’on sait la manière suave et répétée déboucher sur des moiteurs convoitées. Un doigt entame de savants allers-retours le long de l’étroit sillon creusé à même la texture du slip. Puis deux… oh juste pour enserrer les ...
    ... grandes lèvres au travers du tissu, les malaxer doucement l’une contre l’autre en regardant ailleurs. Que d’impatiences ravalées !
    
    Grand silence. On aurait aimé percevoir une réaction, mais rien. À peine une moue qui ne pouvait même plus être qualifiée de réprobatrice. Et une contraction, un peu plus marquée. Nerveuse sans doute, la contraction. Finalement, je m’étais faite à cette idée pas si saugrenue de canaliser le surplus d’énergie quand l’impétuosité rechigne à se montrer débordante.
    
    On avait demandé à demoiselle d’appuyer le dos contre une des portes de la grande armoire. Et on s’est accroupie. On a même dit que ce serait bien, si elle tendait un peu le bassin. Juste un peu.
    
    Glisser la main entre les cuisses n’avait pas posé problème. Madame relève pourtant la tête en soupirant. Regard inquisiteur, comme si lesatisfecit d’une Stéphanie conquise n’était plus qu’une question de temps.
    
    — J’aime tes yeux.
    — La couleur ?
    — Non. Ce qui se cache derrière.
    
    J’aurais pu ne percevoir que le rythme des respirations. Mais madame a le sens du suivi en silence, leknow-how du doigté sous coutures et de ses retombées. Je ne suis pas contre, si c’est harmonieux.
    
    Soulever le liseré du slip tout au haut de la cuisse, se mordiller la langue pendant l’approche et repousser la petite bande de tissu presque entièrement sur le côté, c’est aussi d’une certaine manière redécouvrir… ce qui se cache derrière !
    
    Fallait-il s’enhardir jusqu’à cette lente et minutieuse exploration ...
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