1. Ta femme mise à nu (partie I)


    Datte: 21/10/2019, Catégories: fhh, extracon, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, tutu, lettre, extraconj, Auteur: Le Messalinien, Source: Revebebe

    ... remarquer, elle trouvait ça vraiment tout naturel. On lui demandait si ça l’excitait ; elle répondait que, bien évidemment. Elle nous retournait la question et on lui répondait de la même manière. Elle nous appelait Belle Gueule et Grande Gueule. Nous, nous l’appelions ma petite chatte, suite aux petits miaulements qu’elle avait lorsqu’elle tentait de se hisser pour peindre au plus haut. T’as appelé une fois cet après-midi-là. Le reste du temps, elle ne devait pas vraiment penser à toi.
    
    Nous avons fini la peinture en moins de trois heures. On s’est échangé la dernière bière qui restait dans le frigo puis A. est parti acheter de quoi s’hydrater de nouveau. Me voilà seul avec ta brune, toute chaude, toute mignonne, ses belles formes bien caressées par le tissu de ses habits, sa chair rose en sueur, son sourire et ses yeux bleus.
    
    — Il a pas peur T. de te laisser comme ça toute seule avec deux mecs tout un après-midi ? On sait jamais ce qui peut se passer.
    — Peut-être croit-il que je ne me satisferais pas de deux.
    — C’est trop ou trop peu ?
    — Ça peut être trop ? C’est possible ça ?
    — Peut-être aussi qu’il te fait confiance.
    — Ou qu’il vous fait confiance à vous. Ou qu’il nous fait confiance à nous. Que quoiqu’il puisse arriver entre ses meilleurs amis et sa nana il n’en saura rien. Que le monde entier n’en saura rien. Qu’il y aura toujours un doute et toujours un espoir.
    — Tu crois qu’il pense ça ?
    — Je sais pas. Moi, je le pense.
    
    Je me suis approché d’elle. ...
    ... Ses yeux s’agrandissaient à mesure que j’avançais. Elle ne les avait jamais ouverts autant que ça pour moi. Il m’a semblé qu’elle tremblait un peu. Elle a voulu dire quelque chose. Je lui ai bâillonné la bouche de mes lèvres. Les siennes étaient pleines, légèrement salées. Elle les a desserrées petit à petit. J’ai introduit ma langue contre la sienne et je me suis collé contre son corps. Elle ne luttait pas. Ses lèvres étaient appuyées, pleines et humides, contre les miennes et sa langue tournoyait langoureusement contre la mienne. Les pas de A. se sont fait entendre dans l’escalier. Nous avons arrêté notre étreinte.
    
    A. avait tout ce qu’il fallait pour nous consoler d’avoir sué à grosses gouttes pour la blancheur de son salon. Il s’était muni de trois bouteilles de rosé bien fraîches. On s’installa dans le bric-à-brac de sa chambre où il avait entassé tant bien que mal le mobilier du salon. Ta belle a sauté direct s’installer sur le lit recouvert d’une mince couverture, histoire de ne pas repeindre tous les draps en blanc crème. A. et moi avons pris place dans le canapé qui lui faisait face. A. a mis le vinyle deThe Dark Side of the Moon des Pink Floyd et il s’est saisi d’une petite sacoche de ganja. Les yeux de ta bru pétillaient rien qu’à la vue de « Grande Gueule » roulant son pétard. J’ai débouché la première bouteille de rosé sur les premiers accords deMoney. Par la chaleur caniculaire qui régnait dans la chambre, les premières gorgées de vin ont fait l’effet d’une ...
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