1. Ta femme mise à nu (partie I)


    Datte: 21/10/2019, Catégories: fhh, extracon, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, tutu, lettre, extraconj, Auteur: Le Messalinien, Source: Revebebe

    ... constater à mon arrivée qu’il n’y avait qu’A. pour m’accueillir. Lui aussi avait l’air un peu déçu, le bougre. J’ai bien l’impression qu’il espérait plus voir débouler les nichons de ta bru que la tronche de son pote. On a pris une bière (je ne sais pas pourquoi il fait toujours une chaleur du diable chaque fois que j’ai l’idée de repeindre un mur !) et on a disserté sur ta nana. Surtout A. Elle lui avait fait forte impression à notre ami. Belle comme elle est, elle rendrait la vue à un aveugle, qu’il disait. Et franchement c’est pas humain d’avoir une meuf comme ça que quand tu la lâches au milieu de quelques queues, ça vous crée une explosion à arracher tous les yeux de leur orbite et les bites de leur futal et que, vu comme elle a le cul qui crie famine et les yeux qui implorent braguette, une meuf comme ça elle se partage ou elle s’oublie, qu’il continuait à dire de son verbe fleuri. Moi, je me marrais forcément et, vu qu’elle pointait pas le bout de ses seins, on a commencé seuls le boulot.
    
    — Merde qu’il disait, j’savais bien qu’on aurait dû la chercher chez elle car elle a sûrement dû se perdre en chemin dans des boutiques ou au fond d’une forêt de queues.
    
    Et il continuait ainsi de son humour grivois tout en peignant. Au moment où il venait de sortir une énième perle sur ta nana, la sonnette s’est mise à retentir. Je suis allé ouvrir la porte. Pour mon plus grand bonheur. Car ta belle se tenait là, tout sourire, toute fraîche malgré la canicule, bien moulée sous ...
    ... un tee-shirt blanc bien serré et un mini-short sacrément sexy. Elle s’appuyait d’une main contre le mur du couloir et ses longues jambes nues grimpaient jusqu’au minuscule morceau de jean.
    
    — Bon, tu me laisses passer, Belle Gueule, qu’elle me dit, ou tu comptes me reluquer comme ça toute l’aprèm ?
    
    Elle nous fit la bise et s’excusa de son retard qu’elle mit sur le compte des transports en ville, de la douche, du téléphone et du besoin profondément féminin de se faire désirer. Je lui fis remarquer qu’il ne devait pas y avoir de peintre plus sexy dans toute l’Histoire de l’art. Ce à quoi elle répondit qu’elle avait pris ce qui craignait le moins et la peinture et la chaleur.
    
    On se remit au boulot tous ensemble. A. profitait de chaque instant possible pour me faire des clins d’œil et des signes en direction du petit cul de ta donzelle. Faut dire qu’en s’habillant légèrement, elle avait su nous refiler de sacrées bouffées de chaleur. C’était assez agréable de travailler ainsi. Non seulement ta belle assurait le spectacle en se dandinant pour donner des coups de pinceau contre le mur, mais nous nous entendions aussi très bien. Faut dire que A. avec son humour mi-sec, mi-grivois, aurait assuré l’ambiance tout seul et que nous ne manquions pas non plus ni d’esprit ni de piquant, ta belle brune et moi. D’ailleurs, il n’y avait pas que nous, les mecs, qui mations son corps chaud. Elle ne se gênait pas pour nous regarder longuement travailler en sueur. Et quand on le lui faisait ...
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