1. Ta femme mise à nu (partie I)


    Datte: 21/10/2019, Catégories: fhh, extracon, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, tutu, lettre, extraconj, Auteur: Le Messalinien, Source: Revebebe

    ... Il faisait délicieusement bon dehors et je tirais paresseusement sur ma Camel à la porte de chez A. quand je vous ai vus apparaître au loin. En contraste avec les amplis d’A. qui crachaient au quatrième étage, vous sembliez venir d’un autre monde. Tu m’as refilé ta poignée des amis de toujours et tu m’as présenté ta bru, fier que t’étais mon salaud ! Je me souviens encore du moelleux de ses joues quand je l’ai embrassée à ce moment-là. Sa silhouette au loin était légère. Ses cheveux noirs de jais caressaient ses épaules roses. Mais lorsque j’ai retiré mes lèvres de ses joues, ce sont ses yeux qui m’ont électrisé, des yeux d’un bleu si clair que ses cheveux sont noirs. Je t’ai envié instantanément et je t’ai admiré dans la foulée. Ses yeux n’avaient pas peur de fixer les miens mais semblaient alors ailleurs. Il n’y avait dans ses yeux aucun affront, aucun effort, aucune envie de forcer des portes, aucune lassitude non plus. Ils étaient juste le reflet de son être – ses désirs au repos – et, pour moi, ils étaient une caresse intime. Comme son sourire qui flottait et adoucissait notre rencontre. Par sa simple présence, elle suscitait le naturel et c’est comme si nous nous étions connus tous trois depuis toujours que nous nous sommes infiltrés dans la fête d’A.
    
    Ça grouillait de monde chez notre A. et ça, l’alcool aidant, c’est ce qui fallait à ta belle pour réveiller ses envies et que son désir prenne corps. A., notre mousquetaire au verbe haut et au cynisme de légende, lui a ...
    ... tout de suite plu. Rien que son prénom la faisait marrer. Et elle a pas tardé à traîner son rire partout avec son petit cul qu’elle dandinait sur le rythme de la musique. On en avait tous le tournis à voir sa robe légère virevolter, à guetter les mouvements plus lancinants qui laisseraient entrevoir sous le tissu des fesses rondes et serrées. Et quand elle s’approchait de nous en dansant à moitié, combien de regards ont plongé aussi sec sur ses seins fermes qui collaient à la toile de la robe. Alors, pas farouche pour un sou, elle dégainait un petit rire à damner un saint puis, d’une voix diablement douce, avec des yeux effrontément grands et perçants à la fois, elle vous écorchait de ses mots en espérant que son adversaire ait assez de repartie pour continuer le jeu. Qui d’entre nous ne s’est pas alors perdu dans son regard en croyant le soutenir ? Qui n’a pas essayé de la séduire par quelque répartie avant de la voir tourner les talons et les hanches ? Que pouvais-tu faire, toi, mon pauvre vieux ? La suivre, désemparé, parler aux autres en la regardant déambuler, faire mine de ne pas faire attention… tu as essayé tout ça, dans le désordre. Elle, elle allait et venait autour de toi, faisant des yeux de biche à quiconque avait une bouteille pour remplir son verre.
    
    L’ambiance était électrique, excitée de toute part et la rage montait silencieusement en toi sans qu’elle eût l’air de s’en apercevoir. J’ai vu tout ça, moi. Et j’ai vu comme elle est forte quand elle est libre ...
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