Ta femme mise à nu (partie I) - Histoires de Sexe

Ta femme mise à nu (partie I)

... délivrance. Le pétard qui l’a vite rejoint nous a arrachés au sentiment d’étouffement et à la sensation désagréable de dégouliner de sueur.

Nos corps s’alanguissaient sous l’effet de la Marie-Jeanne et nos langues se délièrent grâce à la combinaison de vin frais et de fumette. Ta chérie en particulier avait des mouvements de plus en plus langoureux quand elle ne tenait pas la pause sensuellement les mains appuyées en arrière, son buste magnifique cambré vers nous et ses longues jambes légèrement glissées de côté. La fine main de ta belle glissait nonchalamment de son cou en sueur, à ses seins, à ses cuisses. A. lui a fait savoir qu’elle pouvait se mettre à l’aise alors qu’elle avait sa main toute proche de son entrecuisse. Ta brune a fait savoir qu’elle se mettrait bien à poil si nous en faisions autant, par galanterie qu’elle disait. A. a dit que la vue de son membre risquait fort de la mettre en chaleur, ce qui semblait contraire au but recherché. J’ai maintenu, en regardant ta belle dans les yeux, que ces choses-là ne l’impressionnaient guère. Elle a gloussé et nous a demandé si nous avions déjà fait l’amour à trois. A. a soutenu avoir fait l’amour avec deux filles. Ce à quoi, ta belle s’est aussitôt enquise de savoir s’il avait été assez performant pour combler l’une et l’autre. Elle nous a confié en se dandinant sur le lit qu’elle aimait embrasser d’autres filles et que l’expérience de coucher avec une autre la tentait diablement. Elle nous a confié que, plus encore, ...

... elle avait toujours voulu coucher avec deux mecs ou plus. A. a fait remarquer que nous étions justement deux.

Ta chérie s’est levée et s’est assise dans le canapé entre A. et moi. Elle nous a demandé si ça nous gênait qu’elle nous caresse entre les cuisses. Joignant le geste à la parole, elle se mit aussitôt à caresser une cuisse à sa gauche, une cuisse à sa droite et à remonter ses mains jusqu’à notre entrejambe en faisant crisser nos jeans sous ses ongles.

— Belle Gueule est persuadé qu’une fille qui lui caresse la tige a forcément envie qu’il la baise. N’est-ce pas que c’est bête ? qu’elle a dit en malaxant les bosses qui grossissaient sous nos futals.

Ses doigts allaient et venaient du bas de nos bourses jusqu’à la bosse que formait le gland par-delà nos jeans. A. glissa un bras derrière la belle tête brune de ta chérie et a empoigné de l’autre main son sein gauche. J’ai saisi le menton de ta belle et j’ai collé mes lèvres contre les siennes pour l’embrasser goulûment. J’ai saisi à mon tour son sein droit inoccupé, le malaxant d’une paume bien ferme. Ses lèvres salées allaient de la bouche d’A. à la mienne et revenaient. J’ai glissé une main sur sa cuisse brûlante. Elle a penché la tête en arrière. A. a glissé la sienne dans son cou. Nos mains soulevaient désormais son tee-shirt, son soutien-gorge et excitaient du bout des doigts ses tétons tout dressés. Elle gémissait de bonheur et elle a glissé ses mains dans nos futals, griffant légèrement le long du membre, ...