1. Ta femme mise à nu (partie I)


    Datte: 21/10/2019, Catégories: fhh, extracon, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, tutu, lettre, extraconj, Auteur: Le Messalinien, Source: Revebebe

    Très cher T,
    
    Mon pote, je t’écris cette lettre que je te conseille de lire jusqu’à la fin pour bien en comprendre tout le sens. Tu y trouveras le récit d’un secret qui n’a plus lieu d’être et que je t’écris avec l’assentiment de ta belle.
    
    J’ai mis ta femme (ou plutôt ta future femme puisque tu viens de la demander en mariage) à poil et j’ai couché avec elle, seul parfois, à plusieurs souvent. Elle a connu lors de tes absences, des plaisirs que tu n’aurais pu lui procurer et elle en a profité en jouissant de tout son être. Elle a le goût de la jouissance, ta brune.
    
    À la lecture de ces lignes je sais, mon pauvre vieux, que la rage te chatouille l’intérieur. Mais qu’est-ce que tu veux que je te dise ? C’est comme ça la vie, pas toujours comme on veut. Et puis tu le sentais, au fond de toi tu le savais. Moi, ton pote. Elle, ta bru que tu couves comme une louve. Mais à voir comme elle louche toujours vers les entrejambes, t’avais plutôt intérêt à l’attacher pour pas que sa lune vienne échouer là où ses yeux ont accosté. Car ce sont des gourmands ses yeux. Ça d’ailleurs tu le savais et ça te rend dingue à crever.
    
    N’empêche que c’est rien ses yeux, tu sais. Enfin sûrement que tu sais pas, d’ailleurs. Mais sa bouche. Sa bouche, mon pote, c’est plus gourmande qu’elle est, c’est possédée. Possédée de mon sexe maintenant mais crois-moi qu’elle s’en fout bien que ce soit le mien, pourvu qu’il soit dur et chaud. Car ses lèvres, ce sont des ogres et dans l’antre, sa langue ...
    ... c’est un démon. Elles sont divinement pleines et chaudes, ses lèvres, quand elle presse ainsi ses deux petites chairs roses, formant un « O » parfait, coulissant, serré contre le gland et glissent, toutes mouillées et pleines qu’elles sont, le long de mon membre dressé. Elle engloutirait l’univers entier entre ses lèvres s’il avait la forme d’un « I » et que la Voie Lactée y coulait chaude dans ses veines. Possédée, je te dis. Elle en gémit avec ça. De bonheur et d’envie lorsque ses yeux lubriques en oublient de guetter mon plaisir tout au fond des miens.
    
    M’en veux pas si je te raconte tout ça, mon vieux. C’est qu’à force de te voir souffrir quand ses pupilles se dilatent à la rencontre de n’importe quelle tronche, je me suis dit que tu dois sacrément aimer ça. Pour sûr que t’as dû te fourrer un sacré nœud de montagnes russes dans la caboche. Alors laisse-moi te la dépeindre en haut et en couleur, ta petite femme. Tu me diras plus tard si t’as aimé ces petits loopings dans le réel.
    
    Ce qu’il y a de bien à t’écrire tout ça, c’est que tu me fais grâce de tes aboiements de vierge effarouchée et, toi, tu peux te délecter du plaisir vicieux d’effeuiller ta jolie fleur dans les bras des autres. Alors, trêve d’introduction douteuse et place à la vérité toute nue.
    
    Te souviens-tu quand tu me l’as présentée, ta belle ? Sûr que tu t’en souviens. Ce soir-là toute son âme a coulé, envahi son corps de nymphe. J’avais déboulé seul à une heure où le soleil avait déjà tiré sa révérence. ...
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