Un moment d'égarement
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
hplusag,
fplusag,
extracon,
profélève,
poilu(e)s,
piscine,
jardin,
hsoumis,
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
couple+h,
Auteur: François G., Source: Revebebe
... bien proportionnées. Elle était de plus cambrée naturellement. Je ne pus m’empêcher de ressentir un certain trouble en la regardant. Je m’empressai de plonger dans la piscine avant qu’elle ne découvre mon « émoi ».
Tout en nageant, on continuait à bavarder. La discussion prit un tour encore plus « libéré ». Ils continuèrent sur le terrain de mes amours, je leur avouai alors que Carole était ma première vraie fille et, qu’à part quelques pelotages avec des cousines délurées, je n’avais guère eu d’expérience avant.
André me rassura :
— Tu sais on a tous commencé comme ça. Avec des cousines ou même des cousins.
Je ne relevai pas l’allusion. Monique renchérit :
— Oui, c’est vrai que la découverte se fait souvent avec des jeunes de la famille ou des copains du même sexe. Ceci dit, il va falloir que tu te bouges un peu.
— C’est à dire ?
— Eh bien, il faut que tu voies les choses en face. Carole sait maintenant ce que c’est qu’un vrai mec et elle va avoir des exigences. Il faudra que tu sois à la hauteur sur ce plan-là quand le type va la lâcher. Sinon ne t’étonne pas qu’elle en recherche un autre.
— Tu as sans doute raison.
Je pris un tel air abattu qu’André s’empressa d’intervenir.
— Tu manques juste un peu d’expérience. Mais nous, de l’expérience on en a. N’est-ce pas ma chérie ?
— Mais oui. Si tu veux, on peut t’aider à rattraper ton retard François ?
— Euh… Oui, mais… comment ?
Ils échangèrent un sourire complice et sortirent de l’eau sans ...
... répondre. Je continuai à nager seul, m’interrogeant sur le sens de leur proposition. Ils s’étaient étendus sur un matelas biplace. Tout en nageant, je pouvais les observer, nus, allongés. J’hésitais entre gêne et curiosité malsaine. Ils se câlinaient gentiment, ignorant ma présence. Je n’osais pas sortir de l’eau.
André se leva et annonça :
— Je vais faire des courses au village.
Je le vis s’éloigner nu. Je vis aussi son sexe large en érection. Il ne semblait pas du tout se soucier de son état. Il ajouta :
— Profitez bien du soleil et prenez votre temps.
Il partit sur cette phrase ambiguë. Comme je restais dans l’eau, c’est Monique qui m’appela :
— Tu viens François, j’ai besoin que tu me passes de la crème à bronzer.
Difficile de refuser. Je sortis de l’eau nu et le sexe en semi-érection. Je m’approchai d’elle. Heureusement elle était sur le ventre. Elle me dit :
— Le flacon est là. Passe-m’en sur le dos.
Je me mis au travail. J’étalai doucement la crème sur ses épaules, repoussant un peu ses cheveux blonds. Je ne pouvais pas détacher mon regard de ses jolies fesses cambrées. Je poursuivis en descendant sur le dos, le creux des reins. Toucher sa peau chaude et douce, regarder son corps dénudé avait provoqué une érection presque douloureuse. Je savais que tôt ou tard elle allait la découvrir. Comment allait-elle réagir ?
Elle m’encouragea à la « crémer » plus loin.
— Tu as les mains très douces, François. Tu me fais du bien.
— Vraiment ?
— Oui, ...