1. Un moment d'égarement


    Datte: 16/03/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, extracon, profélève, poilu(e)s, piscine, jardin, hsoumis, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, couple+h, Auteur: François G., Source: Revebebe

    ... continue. Mets-en sur mes fesses et mes cuisses.
    — Euh… d’accord.
    — Tu me trouves comment, dis-moi ?
    — Je… je te trouve très jolie.
    — Moi, je trouve que j’ai de trop grosses fesses.
    — Pas du tout. Elles… elles sont très bien.
    
    Sans me prévenir, elle se retourna et jeta un regard sur mon sexe. J’étais rouge de confusion. Elle me sourit.
    
    — Je vois effectivement que tu aimes bien mes fesses.
    — Je… je suis désolé…
    — Mais, désolé de quoi ? Bander c’est le plus bel hommage qu’un homme puisse rendre à une femme. Et venant d’un jeune homme, c’est très flatteur pour moi.
    — …
    — À moi de te récompenser.
    
    Doucement elle étendit le bras. Tout en me fixant, en silence, elle saisit mon sexe et entreprit de me caresser. L’image de Carole traversa mon esprit. Mon visage dut trahir ma pensée car Monique reprit la parole.
    
    — Ne pense à rien. Laisse-toi aller. Personne n’en saura rien, et surtout pas Carole.
    
    Je ne répondis pas et je m’abandonnai doucement à la caresse de cette femme mûre. Sa main fut vite remplacée par sa bouche. Sa langue sur mon gland me rendait fou. Je caressais ses cheveux, sa peau douce et chaude au soleil. Elle me fit allonger sur le dos. Ses mains vinrent compléter sa caresse buccale. Elles glissèrent sur mes cuisses, vers l’intérieur, effleurèrent mes couilles. Ma respiration s’accélérait, mon ventre se creusait. Elle se releva et, tout en me fixant, continua sa caresse avec une main. Son regard avait changé. Il semblait plus dur. Je sentis un doigt ...
    ... s’insinuait entre mes fesses.
    
    — Écarte un peu plus tes jambes.
    — Pourquoi ?
    — Chut. Laisse-toi faire. Tu vas aimer. J’en suis sûre.
    
    Son doigt se posa sur mon anus. Pendant ce temps, sa bouche était revenue effleurer mon sexe. Elle contrôlait parfaitement mon excitation. Dès qu’elle sentait que j’étais sur le point de jouir, elle s’arrêtait, se relevait en me fixant en silence. Puis doucement, son visage redescendait sur mon corps, effleurant mon ventre, remontant vers ma poitrine alors que je l’attendais… plus bas. Pendant ce temps, le doigt avait réussi à m’investir. Petit à petit, j’éprouvai une sensation très agréable. Elle commença alors les premiers va-et-vient. Je m’abandonnai encore plus pour sa plus grande joie. Elle décida alors de m’amener au bout de la jouissance. Sa bouche me reprit et elle ne se retira pas malgré mes timides avertissements. Elle me but jusqu’à la dernière goutte.
    
    — Et moi alors, je n’ai droit à rien ?
    
    Je sursautai, André était là qui nous observait. Depuis combien de temps ?
    
    — Alors mon chéri, déjà de retour ? Tu as fait vite.
    — Oui, il n’y avait personne. Tu penses, avec cette chaleur. Je vois que vous avez fait plus ample connaissance.
    — Je ne t’ai pas attendu. J’avais trop envie de parfaire l’éducation de François.
    
    C’était surréaliste. Ils discutaient de manière banale, comme si c’était naturel qu’un mari surprenne son épouse en train de faire une fellation doublée d’un doigtage à un jeune homme. D’un autre côté, j’étais ...
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