Un moment d'égarement - Histoires de Sexe

Un moment d'égarement

... ne voulait pas non plus brusquer les choses. À son tour, doucement, il m’a préparé. Un puis deux doigts. Il était doux, patient. Comme dans un rêve, j’acceptai ce geste que j’aurais sûrement refusé violemment dans une autre situation. Monique se mit à gémir un peu plus, augmentant notre désir. Sans conviction, je murmurai à l’attention d’André :

— Non, s’il te plait.
— Allez, ne me dis pas que tu n’as pas envie. Tu te laisses tripoter depuis dix minutes ! Lâche-toi… cambre-toi bien.
— Tu es trop gros…
— Mais non, c’est juste que tu m’excites un peu trop avec tes petites fesses… Allez, cambre-toi.
— …
— Mieux que ça… Oui, c’est bien.

L’excitation était trop forte. Au moment où le gland d’André franchissait ma porte secrète, j’explosai dans Monique ravie.

— Aie… hum.
— Voilà, c’est rentré… Tu es serré. J’adore.

Doucement André s’enfonça en moi. Monique se dégagea car j’avais débandé très vite. L’expérimenté André savait y faire. Il fut bien vite au fond de moi. Je sentais ses poils contre mes fesses et ses couilles venaient taper les miennes. Après nous avoir observé, Monique revint dans la partie et s’occupa à nouveau de moi, tout en faisant quelques commentaires qui accrurent mon excitation.

— Cambre-toi bien. Qu’il aille bien au fond de toi. Tu aimes ?
— …
— Oui tu aimes, coquin. Tu rebandes.

André avait trouvé le bon rythme. Monique me caressait. D’un seul coup, je sentis le sexe d’André se tendre en moi. Il s’immobilisa et explosa. Monique nous observa nous affaler sur le matelas.

— Bon… si on retournait se baigner.