Un moment d'égarement
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
hplusag,
fplusag,
extracon,
profélève,
poilu(e)s,
piscine,
jardin,
hsoumis,
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
couple+h,
Auteur: François G., Source: Revebebe
... bien alors, comme dit Monique, il ne te reste plus qu’à être patient. Lorsque le mec aura fini de s’amuser ou lorsqu’elle aura fait son plein d’expérience, ça s’arrêtera.
— Oui peut-être, mais en attendant je souffre et j’ai peur de la perdre.
— Mais elle aussi, elle doit souffrir. Elle t’aime mais en même temps, elle a goûté à quelque chose de nouveau à cause de ce type qui se comporte comme un gourou. Pour l’instant tu ne peux pas lutter.
Monique renchérit :
— Il faut que tu te dises qu’elle est comme dans une secte. Et arracher quelqu’un à une secte, ça ne se fait jamais de manière frontale. Il faut de la patience et de la ruse.
— J’espère que je n’attendrai pas des années.
— Mais non. Tu as déjà choisi la bonne tactique en ne cherchant pas l’affrontement. Tu as des amis. Tu n’es pas seul.
André intervint :
— Le type va se lasser, ne t’en fais pas. Il faudra être simplement être là au moment où elle en aura marre. Mais il faudra être à la hauteur.
— Que veux-tu dire ?
Monique coupa notre échange :
— Allez, on en reparlera plus tard. On ne t’a pas fait faire le tour de notre terrain ?
— Non.
— Alors suis-moi jeune homme. Tu vas être surpris.
Pendant qu’André débarrassait la table, je suivis Monique qui se dirigeait vers une partie entourée de grandes haies. À ma grande surprise, je découvris une belle piscine, bien isolée des regards. À cette époque-là et dans cette région, c’était peu courant.
— Elle te plait ?
— Oui, elle est magnifique.
— ...
... C’est notre petite folie à André et moi. En plus, elle est chauffée pour qu’on en profite un maximum.
— Super !
— Tu as de la chance, aujourd’hui il fait un temps magnifique. On va en profiter jusqu’à ce soir.
— C’est que… ?
— Quoi ? Tu ne sais pas nager ? (Elle rit.)
— Non mais… j’ai pas de maillot.
André venait d’arriver.
— Tu entends André, il n’a pas de maillot le pauvre.
Ils éclatèrent de rire à nouveau. Devant mon air étonné, Monique reprit la parole :
— Allez, on va te mettre à l’aise, si je puis dire. Si nous avons entouré la piscine de ces haies, c’est pour une bonne raison.
— Laquelle ?
— André et moi sommes naturistes depuis très longtemps. On s’est fait cette installation pour pouvoir pratiquer le plus souvent possible. Tu veux essayer ?
— …
— Laisse-toi aller, tu as besoin de te détendre. Et… ne t’inquiète pas, personne ne saura rien de ton week-end !
Je ne relevai pas cette phrase pleine de sous-entendus. Ils m’avaient mis en confiance. C’étaient ce qu’ils cherchaient. C’est donc presque sans hésitation que je me déshabillai entièrement. Monique et André firent de même et m’invitèrent à venir me baigner. Mon corps mince et longiligne au torse glabre était à l’opposé de celui d’André, trapu et couvert de poils. Quant à Monique, je découvris amusé que ce n’était pas une vraie blonde. Mais, pour quelqu’un qui frisait la cinquantaine, elle avait un corps très agréable à regarder : de beaux seins lourds aux larges aréoles et de belles hanches ...