Grives ou merles
Datte: 13/10/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
fête,
amour,
cérébral,
odeurs,
Oral
pénétratio,
init,
amiamour,
prememois,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... femme, mais aussi le bouffer, y introduire ma langue, m’en délecter. Elle me donnait tout, tout de suite, autant que je voulais, à condition que je lui donne, moi aussi en retour.
Je suis incapable de dire combien de filles j’avais baisées avant elle, en payant ou pas, mais cette fois-là, je n’ai pas baisé Marie-Thérèse. Nous avons fait l’amour. J’ai découvert le sens que ça avait. Quand enfin je me suis introduit en elle, ça faisait sûrement au moins une heure qu’on se caressait, qu’on se suçait, qu’on s’embrassait. Elle m’avait rendu mes caresses buccales et se délectant de mon sexe et même de mon anus timide. Et ce fut la délivrance, la communion. Planté au plus profond de son intimité, j’ai vu son âme, et j’ai vu la mienne. Nous ne faisions qu’un, collés l’un à l’autre, à savourer doucement pour que ça dure, longtemps. J’étais encore jeune et encore con, mais je savais ce que je faisais. Elle, je ne savais pas encore, alors je lui ai demandé si je devais me retirer, le moment venu. Je n’en avais pas envie, mais je ne voulais pas lui imposer. Elle m’a regardé dans les yeux.
— Edmond tu connais le risque n’est-ce pas.
— Je le connais oui.
— Alors fais comme tu veux.
— Toi tu veux quoi ?
— Je veux ce que tu veux.
— Tu dis ça à tous les hommes avec qui tu couches ?
Son visage s’est figé, ses muscles se sont raidis. Mais elle ne m’a pas repoussé.
— Tu ...
... es le premier à qui je dis ça.
— Mais je ne suis pas le premier avec qui tu couches.
— En effet. Mais tu es le premier qui me voit nue. Tu es le premier à avoir mis ton sexe dans ma bouche. Tu es le premier qui me prends sur un lit. Tu es le premier auquel j’ai pensé après notre première rencontre. Tu es le premier avec qui je fais vraiment l’amour. Tu es le premier qui me donne envie d’aller au bout. Tu es le premier homme dont je tombe amoureuse.
Là, c’est moi qui me suis figé, mais je ne l’ai pas repoussée. Je me suis allongé sur elle, nous nous sommes aimés, jusqu’au bout. Elle criait en jouissant quand je lui ai dit que moi aussi j’allais venir. Elle a serré ses jambes autour de mon bassin en relevant ses fesses, et j’ai éjaculé aussi profondément que possible en l’embrassant.
Au petit matin, quand nous sommes sortis de mon lit nous avions fait l’amour toute la nuit sans dormir. Je n’avais plus de jus, dans tous les sens du terme.
Marie-Thérèse c’est mon merle à moi, et je n’ai jamais connu de grive. Nous nous sommes mariés et nous avons aujourd’hui une grande famille. En vieillissant, elle est devenue plus jolie, mais elle a toujours été belle. Bien sûr, nous faisons l’amour moins souvent, mais c’est toujours aussi génial, toujours aussi fort pour elle et pour moi. Ce que voient les yeux, le cœur peut l’ignorer un instant, mais il ne s’en nourrit pas.