1. Grives ou merles


    Datte: 13/10/2019, Catégories: fh, jeunes, fête, amour, cérébral, odeurs, Oral pénétratio, init, amiamour, prememois, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... toujours avec un regard en coin sur la grosse horloge murale qui faisait tic-tac à s’en rendre agaçante.
    
    Au service militaire, j’ai expérimenté les plaisirs solitaires mais à plusieurs. À y repenser, j’en suis encore tout retourné. Au début, dans la piaule, chacun se tirait sur l’élastique discrètement tous feux éteints et en silence. Puis petit à petit la promiscuité devenant de la proximité, on avait fini par ne plus se cacher. Quelques potes de chambrée faisaient les mecs pas intéressés et nous tournaient le dos, mais on était plusieurs à trouver plus sympa de se branler ensemble. Regarder un autre se branler, ça me motivait. Et réciproquement. On était 5 ou 6 à s’adonner régulièrement à cet exercice en se racontant des histoires de filles. Ouais, bon, c’était pas très « smart » comme on dit maintenant, mais y’avait pas de mal. On se faisait du bien c’est tout. Et on savait tous bien que les histoires que racontaient les autres en se secouant la quenelle étaient inventées, vu que chacun en inventait pour faire bander les autres. On s’en foutait de ce qui était vrai ou pas ; le principal c’était que ça nous permette de rêver à des beaux culs et à des gros nichons de nanas pas farouches qui suçaient comme des folles et se faisaient prendre en hurlant. On était jeunes.
    
    Quand j’avais des permissions, je revendais les clopes pour me payer une passe. J’étais chez les teutons, alors là pas question de faire la causette. C’était à la chaîne. Sauf qu’une fois je suis tombé ...
    ... sur une bombe anatomique, tellement belle que j’en rêve encore. Elle avait un de ces culs, rond, ferme. Des longues jambes musclées, des petits pieds tout fins, pas de ventre, des seins pas très gros mais vachement bien dessinés, un visage d’ange démoniaque, des yeux bleu acier et des cheveux noirs épais. Morbleu. Une déesse. Et que dire de sa foufoune bordel. Un régal. Elle puait la sueur comme les autres mais y’avait rien à voir en matière de plaisir. Et c’était pourtant le même prix que les autres, sauf qu’il fallait attendre son tour.
    
    C’est là que je me suis demandé pourquoi j’avais eu plus de plaisir avec elle qu’avec les autres. Le plaisir, c’est physique. Mais physiquement, c’était la même chose. Ouais bon, quand tu caresses un beau cul, c’est normalement pour faire plaisir à celle qui te laisse le toucher, pas à toi. Mais toi, quand tu trouves le cul beau, en vrai, t’en a rien à foutre que celle qui te laisse le toucher aime ça ou pas, c’est ton plaisir à toi qui compte. La caresse fait du bien à celui qui la donne alors, pas à celui qui la reçoit. Admettons. Mais pourquoi alors quand une fille qui a un beau cul me caresse ça me fait plus de bien que si c’est un gros thon qui me touche ? C’est sûrement dans la tête que ça se passe. C’est pas rationnel. Bon je vais pas définir rationnel, c’est trop compliqué pour moi, et en plus on s’en fout.
    
    Bref, après m’être tapé des grosse Bertha, cet épisode avec la bombasse m’avait ouvert l’appétit pour les belles filles. Je ...
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