1. Grives ou merles


    Datte: 13/10/2019, Catégories: fh, jeunes, fête, amour, cérébral, odeurs, Oral pénétratio, init, amiamour, prememois, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... me suis mis à économiser pour tirer moins de coups mais des meilleurs. Je voulais acheter une heure une fois plutôt que 6 fois 10 minutes sans choisir.
    
    Mon bon sens terrien m’avait alerté, quand même, sur le côté cocasse de l’histoire. En une heure, je tirais 2 coups. Des bons, certes, mais pas plus de deux. Les Mas36 de l’armée de terre rechargent plus vite que mon canon de 45. Et pour le prix de 6 coups c’était quand-même pas donné.
    
    Aussitôt libéré de mes obligations citoyennes, je me suis remis au boulot. J’étais devenu un vrai homme, un homme qui bosse, qui a fait l’armée, et à l’artillerie en ordre de marche.
    
    Seulement dans ma campagne, on ne croise pas beaucoup de filles qui ressembleraient de près ou de loin à la professionnelle qui m’avait mangé ma solde des 6 derniers mois et poli le tuyau. On croise des filles qui ressemblent à mes sœurs, avec des physiques faits pour durer, soulever de la charge, traire le bétail, ranger les foins, nettoyer les écuries, se débattre au lavoir avec les draps bouillis.
    
    Du coup, je papillonnais au gré des bals musettes pour trouver mon bonheur, mais ça se terminait toujours ou presque de la même façon. Un coup vite fait, et à la revoyure.
    
    Un soir de novembre, j’ai croisé une fille de plus. Elle avait mis ce qu’elle croyait être une belle robe, sur son corps meurtri par le travail. Une démarche de paysanne, des fringues de paysanne, un phrasé de paysanne, des chaussures de paysanne, un accent alsacien abominable, un ...
    ... rouge à lèvre rouge qui colle, enfin tous les ingrédients habituels. Je l’ai fait danser, on a picolé un peu, je lui ai raconté mes histoires de conscrit, et on est allés derrière l’église pour se bécoter. Marie-Thérèse n’en était pas à son coup d’essai. Elle avait déjà vu le loup, et fallait pas y’en promettre. Morbleu. Une tornade. T’as pas le temps de lui rouler une pelle qu’elle a déjà sa main dans ton pantalon. C’était pas pour me déplaire d’ailleurs, j’étais pas là pour autre chose. Pour la première fois, j’ai rien demandé. Elle a tout anticipé. Elle s’est débarrassée de sa culotte et m’a demandé de la prendre tout debout contre le mur. J’ai même pas retiré mon froc. Elle voulait de la bite, elle en a eu. Et alors, quel vocabulaire. Une salope. Voilà. C’est exactement ça, une salope.
    
    Elle habitait à 20 bornes alors on s’est pas revus tout de suite. Mais je pensais à elle tout le temps. Elle n’était pas belle Marie-Thérèse, mais le soir de notre accouplement, ça m’avait pas dérangé. Je m’étais senti bien avec elle, vachement bien. (oui je sais je dis souvent « vachement ». On me le dit vachement souvent). Contre le mur, ce qui m’avait plu, c’était pas seulement le contact physique, sa chatte brûlante et toute étroite, mon orgasme qui avait été vachement fort, mais aussi de l’entendre demander des trucs, de l’entendre gémir, de l’entendre me dire qu’elle jouissait, de la sentir se raidir, de la sentir chauffer comme une marmite. Mon plaisir, ça avait aussi été son plaisir, ...