1. Grives ou merles


    Datte: 13/10/2019, Catégories: fh, jeunes, fête, amour, cérébral, odeurs, Oral pénétratio, init, amiamour, prememois, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... en quelques sortes. Encore un sujet de philo pour les morveux. Putain, je leur donne deux sujets le même jour. Trop fort.
    
    Du coup dans mes pensées quand j’étais dans les champs, y’avait pas d’image, mais y’avait du bruit et des odeurs, ses sensations.
    
    On s’est revus le mois suivant au bal. Elle est venue directement vers moi, l’air un peu timide. Même robe, même rouge à lèvre moche, même démarche péquenaude, même phrasé des landes, un désastre. Elle n’était pas belle, pas attirante, pas baisable. Et pourtant. Après quelques bières ça allait mieux. Elle n’était pas encore jolie, mais un peu moins moche. Et pi, j’avais une grosse envie de baiser alors je l’ai ramenée à la maison, discrètement. Elle en semblait ravie. Je me suis dit que c’était physique, qu’elle avait autant envie de ma queue que moi de sa chatte, que c’était un bon arrangement.
    
    À peine rentrée dans ma chambre, elle a viré sa robe moche. En dessous c’était pire. Je me suis demandé si elle n’avait pas piqué les sous-vêtements de ma grand-mère sur la corde à linge tellement c’était vilain. Je bandais quand même, mais j’étais un peu déçu. Il fallait que je baise, de toutes façons, alors faute de grives, ou mange des merles. J’ai quitté mes frusques pendant qu’elle retirait ses oripeaux, et je me suis lancé à l’abordage.
    
    En parcourant les deux mètres qui nous séparaient, je n’avais qu’une idée en tête. Vous avez laquelle. Mas alors que j’allais la pousser sur le lit, elle a ouvert ses bras en grand ...
    ... pour se serrer contre moi. Ça m’a stoppé net.
    
    Elle n’était pas belle Marie-Thérèse, mais elle était chaude et douce, ferme et tendre. Son odeur n’était pas celle de l’alcool, du tabac ou des champs, mais celle d’un savon à la lavande, doux et naturel. Son visage dans mon cou, ses mains dans mon dos, elle me semblait toute petite et toute fine, fragile et délicate. Elle était collée à moi, et je me suis surpris à ne pas chercher à bouger. Pour la première fois de ma vie j’étais bien, apaisé. Ma fréquence cardiaque a pongé d’un coup, et j’ai eu l’impression de faire 20 kilos de moins, d’être plus jeune de 10 ans, et de tenir une femme dans mes bras pour la première fois de ma vie.
    
    Marie-Thérèse a cherché ma bouche pour y promener ses lèvres rouges (et m’en foutre partout de son produit de merde mais ça je ne l’ai réalisé qu’après. Sur le moment je m’en foutais). Elle a pris mes mains pour les poser là où elle en avait envie, sur ses petits seins, sur ses fesses, entre ses cuisses. Elle se caressait, en somme, avec mes mains. Puis elle s’est allongée sur le dos et m’a demandé de la caresser encore, de la découvrir, de la dorloter. J’avais du mal. J’aurais voulu la couvrir de tout mon corps, l’absorber, fusionner avec elle. J’ai fait ce qu’elle me demandait. Je lui ai mordillé les seins, puis elle m’a poussé la tête pour que j’aille explorer son sexe. Ce fut ma première expérience, j’en bande encore. Pour la première fois je pouvais non seulement voir de près le sexe d’une ...